Enregistrementn o 1. Nous sommes le 26 dĂ©cembre 2016, c’est la fin d’aprĂšs-midi, il doit ĂȘtre entre quatre et cinq heures. Dans le premier Neon Wand 1, tu emploies l’expression de « performance de sexualitĂ© » pour parler de travail de BDSM. J’y lis l’idĂ©e que la sexualitĂ© est toujours Ă©crite Ă  travers des scĂ©narios, des scripts, des feuillets de reprĂ©sentations et de
Accueilmots croisĂ©srecherche par dĂ©finition Rechercher dans le dictionnaire Solutions pour les mots croisĂ©s et les mots flĂ©chĂ©s Lettre connue Utilisez la barre espace en remplacement d'une lettre non connue Solution pour la rĂ©solution de "jeux de mains" Dictionnaire et dĂ©finitions utilisĂ©s DĂ©finition 71 mots associĂ©s Ă  jeux de mains ont Ă©tĂ© trouvĂ©. Lexique aucune lettre connue saisie RĂ©sultat 1 mots correspondants DĂ©finition et synonyme en 3 Ă  10 lettres Jeux de mainsCombat Ă  mains nuesSport de combatPassĂ© entre les mains du mitronMalaxĂ© au fournil Est montĂ©e par des mains expertesPierre aux reflets irisĂ©sPierre translucidePierre finePassĂ© par les mains du chirurgienJoue du bistouriFait une actionFait effetTube conçu pour toutes les mainsMains de pokerA entre ses mainsIl fabrique des accessoires de mode pour les mainsHomme de mainsAu football il est le seul Ă  utiliser les mainsCombat Ă  mains nuesFinit parfois par une tournĂ©e gĂ©nĂ©raleJeu dans lequel nos mains et nos pieds s'entrelacentHabiles de leurs mainsRetirĂ© des mains du jugeJeu de mainsRedonne en mains propresReproduit fidĂšlementHomme de mainsIl rentre les mains videsNe rapporte rienPiĂšces de jeuxPour jouer au backgammonPeuvent ĂȘtre pipĂ©sIls ont six facesCubes Ă  jeter pour jouerAussitĂŽt queSurface de jeuxAire de jeuxTerrain de jeuxOpposĂ©e au jardinL'ensemble des magistratsEspace closCercle d'admirateurs
Sedit des jeux qu'on cĂ©lĂ©brait tous les quatre ans Ă  Olympie, et de tout ce qui concerne ces jeux : Jeux OLYMPIQUES. Victoire OLYMPIQUE. Lutteurs OLYMPIQUES. « Il y avait quelque chose de grand dans les jeux olympiques, car c'Ă©tait Ă  la fois une fĂȘte nationale et une fĂȘte religieuse. » (GuĂ©roult) « Vois-tu dans la carriĂšre antique,

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Lesjoueurs sont divisĂ©s en deux camps qui se placent sur ses lignes. Les deux Ă©quipes partent au signal, Ă  cloche-pied, en direction du camp opposĂ©. Quand deux adversaires se rencontrent, chacun s'efforce de faire perdre l'Ă©quilibre Ă  l'autre : la lutte se fait Ă©paule contre Ă©paule, en gardant les mains dans le dos. Harry Potter 2005 ~€~ PrĂ©-au-Lard ~€~ Rues de PrĂ©-au-LardArtemis WildsmithPoufsouffle Re Nuit aux mille et une Ă©prouvantes [TerminĂ©]Artemis Wildsmith, le Dim 19 Avr - 2211 AvertissementCe RP mentionne du contenu sensible Substances illicitesAfficher quand mĂȘmeL’air rafraichi de la nuit printaniĂšre calme aussi les effluves de l’alcool, l’estomac en surchauffe. Gigantesque inspiration puisqu’il s’agissait de se concentrer pour exploser des lumiĂšres dans le ciel noir. L’impression fournie par la graine avalĂ©, ils Ă©taient lĂ , tous les deux, les pieds frĂŽlant la rosĂ©e presque matinale maintenant, bientĂŽt, il se ferait avaler par l’obscuritĂ©. D’oĂč cette nĂ©cessitĂ© suprĂȘme-extrĂȘme de jouer des feux d’artifice, de faire tonitruer leur booms afin d’exorciser les douleurs intĂ©rieures. Et puis il y avait le visage de Loredana, d’une sublime nettetĂ© malgrĂ© la pĂ©nombre, malgrĂ© le kiwicot. C’est les lĂšvres pincĂ©es, large sourire dissimulĂ©, que le Poufsouffle profite de cette façon qu’elle avait d’ĂȘtre d’un tactile accentuĂ© sous les effets de la substance magique. Si t’étais un feu d’artifice, tu serais multicolore, Ă©videmment, la mĂ©tamorphomagie ne permettrait pas une certaine dominance, ou peut-ĂȘtre du rouge. Si tu veux, alors qu’il rapproche ses paupiĂšres papillonnantes de celles de l’Amoureuse, quand tu seras morte, on mĂȘlera tes cendres Ă  la poudre d’un feu d’artifice. Parfaite conversation romantique, comme ça, pouf, les mains dessinent l’explosion en dessous des nuages, tu seras pleeeein de petites lumiĂšres volantes, il n’empĂȘche, ce n’était pas une si piĂštre idĂ©e, fabuleusement merveilleuse en rĂ©alitĂ©. Pourtant, malgrĂ© cette pensĂ©e de funĂ©railles feux d’artifice, il l’embrasse comme si c’était la derniĂšre fois, les lĂšvres font provision de la douceur de celles de l’Épouse, mais j’veux pas qu’tu meurs. Joyeuse graine dans l’estomac qui fait divaguer les idĂ©es jusqu’aux plus macabres, Ă  en oublier BĂ©lĂ©saire et les fusĂ©es qu’il contenait. Comme une envie de faire aussi des provisions d’autre chose alors que les mains du Loup-garou s’en vont rĂ©chauffer le corps de la MĂ©tamorphomage sous le simple tee-shirt qu’elle porte. Les doigts courent, volĂštent sur la peau frissonnante, essaient de la rapprocher tant qu’il voudrait la mettre dans la poche de son pull Ă  la maniĂšre d’une maman kangourou. Mais s’il soulĂšve son sweat ce n’est pas pour initier une Ă©treinte plus ardente, la galanterie le fait respirer briĂšvement et tendre le pull Ă  la jeune femme, tiens, tu vas avoir froid. Étonnant, alors que le ventre bouillonnant aurait plutĂŽt aimĂ© la dĂ©faire de la seule Ă©paisseur de tissu qu’elle portait. Sans jamais la quitter du regard, les pupilles dĂ©sireuses harponnĂ©es aux traits de l’Amoureuse, j’peux p’tet faire un feu d’artifice avec ton visage, si j’pense fooooort fort fort Ă  toi en fermant les yeux, ça devrait fonctionner ! Oui, parce que la magie c’était comme les vƓux – bien Ă©videmment. Il rit de sa propre imagination enfantine, en allant soutirer une des fusĂ©es moldues du sac. La dĂ©poser doucement dans l’herbe humide et s’accroupir prĂšs d’elle, accompagnĂ©e d’Odette III pas totalement rĂ©veillĂ©e. Lancer un sort, enchanter le feu d’artifice pour qu'il fasse scintiller la frimousse de l’AimĂ©e dans le ciel de PrĂ©-Au-Lard endormi, l’enthousiasme lui picote les doigts, mais par oĂč commencer ? Se laisser entiĂšrement guider par la drogue magique et simplement articuler les formules tanguant sur ses papilles. Abracadabra boom boom Loredana, le bois pointĂ© sur la fusĂ©e. Ce n’était pas glorieux, mais pour les boucles curieuses du Fripon, c’était largement suffisant, ne restait plus qu’un Incendio pour allumer la mĂšche. Le dos bascule en arriĂšre pour s’allonger sur le sol mouillĂ©, observer son exploit pyrotechnique, qui, en rĂ©alitĂ©, Ă©clate de façon parfaitement traditionnelle, deux couleurs allumant les quelques nuages paresseux. Enfin, ça n’empĂȘchait pas le Wildsmith de sourire bĂ©atement, les rĂ©tines suspendues aux Ă©tincelles tombantes. Loredana WildsmithMDJ-GestionnaireHarryPotter2005 Re Nuit aux mille et une Ă©prouvantes [TerminĂ©]Loredana Wildsmith, le Mar 21 Avr - 1003 AvertissementCe RP mentionne du contenu sensible Substances illicitesAfficher quand mĂȘmeCela aurait pu hĂ©risser les poils d’une autre oreille attentive si elle avait entendu un tel discours. Qui aimerait entendre son Amoureux parler de ce qu’il ferait Ă  la mort de sa femme ? Aussi colorĂ© soit l’enterrement. Mais pourtant, mon sourire s’était agrandi agrandi agrandi et avait accueilli avec plaisir son baiser. Je n’avais pas peur de mourir, n’y pensais jamais. Pour moi, si cela arrive, cela arrivera. Évidemment, ce sentiment s’était lĂ©gĂšrement estompĂ© depuis que nous Ă©tions ensemble, mais il m’était encore difficile de rĂ©sister lorsque la mort me tendait la main. Il y avait toujours cette hĂ©sitation, ce court instant oĂč je regardais sa main squelettique avec un regard hĂ©sitant. Si de mon vivant je faisais preuve d’une rĂ©elle force, j’avais tendance Ă  baisser rapidement les bras quand la fin Ă©tait proche. Comme si une chose invisible me poussait vers elle, comme une voix qui me murmurait d’y aller, de saisir cette main et m’en aller. Alors, au lieu de confirmer, ĂȘtre d’accord avec ses paroles, je m’étais contentĂ©e de rĂ©pondre moi je ne veux pas que tu meures. Une conversation quelque peu Ă©trange, une maniĂšre subtile d’annoncer que je laisserais ma vie pour la sienne. Je serai le feu d’artifice de ton prochain laisser ensuite aller Ă  l’explosion colorĂ©e, rire au surprenant sortilĂšge qui n’avait pas fonctionnĂ©. Oh mais c’est moi morte ça !! Je montre les Ă©tincelles d’un doigt impressionnĂ© avant de le rejoindre, allongĂ© sur l’herbe un peu trop fraĂźche, mais je ne le sentais pas. Mon corps tremblait malgrĂ© l’épaisseur du pull d’Arty. Je scrute le ciel des yeux, toujours impressionnĂ©e devant un tel spectacle. Une main s’en va doucement Ă  la rencontre de la sienne. Je l’attrape, joue avec ses doigts, la caresse. Les yeux toujours rivĂ©s sur le ciel colorĂ©, tendant l’autre main comme je pouvais attraper chaque lumiĂšre. Je pourrais rester lĂ  toute ma vie Ă  essayer de devenir un feu d’artifice. Le regard dans le vague, la main toujours en train d’aguicher sa fidĂšle partenaire. Que veux-tu faire plus tard Loredana ? J’avais pris une petite voix de mamie Oh moi ? Oh bah Feu d’artificienne ! Puis j’éclate de rire, la main libre posĂ© sur le front. Feu d’artificienne
 ridicule mais joli. Tu devrais vraiment bosser sur un sortilĂšge pour les enchanter et là
et là
 le doigt qui Ă©tait pointĂ© vers le ciel redescend doucement, tout doucement pour se poser sur le nez du Poufsouffle, je t’épouse encore et trois fois de suite. Nouveau rire, tandis que je gigote pour me retrouver sur lui, Ă  le sentir, le toucher du bout du nez. T’es beau, t’es doux et tu sens bon. Nos lĂšvres se rejoignent pour un long baiser. Toi aussi tu devrais ĂȘtre feu d’artificien. On exploserait tous les fonctionnait Ă  l’envers, je voyais les choses en grand et les sensations Ă©taient tout d’un coup dĂ©cuplĂ©es. Le cƓur s’accĂ©lĂ©rait Ă  mesure que l’effet du Kiwocot se rĂ©pandait dans mon cerveau, dans mon corps tout entier. C’était une sensation de lĂ©gĂšretĂ© qui me faisait voir les choses de façon bien plus positive. J’en veux encore. Fais-moi exploser encore ! Pourtant, voilĂ  un corps qui dĂ©sirait tout autre chose. Les lĂšvres partent immĂ©diatement se promener sur le cou d’Arty. Une multitude de baisers et de petites morsures. Les Ă©motions en vrac, impossible de tout remettre en ordre. Je me contente alors de ne rien retenir, laisse la nuit nous amener quelque chose de plus beau, oublier un instant les pĂ©ripĂ©ties de cette pu*ain de vie. Nous enfermer dans cette boĂźte juste lui & moi. Ne pas en sortir avant le lever du jour, le protĂ©ger, sans m’en rendre compte, de tout ça. L’inconscient comme traumatisĂ© par les minutes prĂ©cĂ©dentes devant l'impuissance dont j'avais fait preuve, cette faiblesse. Artemis WildsmithPoufsouffle Re Nuit aux mille et une Ă©prouvantes [TerminĂ©]Artemis Wildsmith, le Jeu 23 Avr - 1507 AvertissementCe RP mentionne du contenu sensible Substances illicitesAfficher quand mĂȘmeLes lumiĂšres pĂ©taradent, illuminent briĂšvement le ciel nuageux de PrĂ©-Au-Lard, de quoi largement saisir quelques temps les boucles d’Arty, ne plus penser pas l’avant, Ă  la soirĂ©e, aux sombres dĂ©couvertes. Laisser le sourire s’élargir et la main se rĂ©fugier contre celle de Loredana. La douceur du prĂ©sent refusant absolument de se laisser aller aux mauvaises pensĂ©es. Il rit aux paroles insensĂ©es de l’Amoureuse, bien que la petite graine magique irradiant le cƓur du Poufsouffle lui soufflait Ă  quel point c’était une merveilleuse idĂ©e, devenir Ă©tincelles et fumĂ©e, feu d’artificien. D’une lĂ©gĂšretĂ© Ă©poustouflante. Il s’efforcerait aprĂšs cette nuit de se vouer Ă  se projet, s’y plonger sĂ©rieusement. Cathartique feux d’artifices qui exploseraient Ă  la place de sa colĂšre. Être sur le point de fermer les paupiĂšres tant le rĂ©confort du moment le berçait, c’était avant un Ă©niĂšme gloussement alors que sur lui dĂ©barquait la MĂ©tamorphomage. Je ne sais pas si tu m’aimes plus sous kiwicot, ou alors si le kiwicot rĂ©vĂšle Ă  quel point tu m’aimes. Continuer, continuer de l’embrasser afin de savourer son sourire enthousiaste. Elle rĂ©clame d’autres explosions alors que le ventre du Fripon s’enflamme sous ses baisers vagabonds - d’autres feux sont Ă©veillĂ©s. Un plaisant soupir indocile lĂąchĂ© et il se redresse vivement, obligeant Loredana Ă  s’asseoir sur lui - corps & Ăąmes imbriquĂ©s. Il garde entre ses mains le visage de la jeune femme, parfaite prise pour joindre les lĂšvres plus intensĂ©ment, avant qu’il ne caresse chacun de ses traits. Songeurs, les doigts s’attardent sur les pommettes et les lĂšvres, j’ai l’impression qu’tu vas partir en fumĂ©e, et qu’elle disparaĂźtrait lĂ , juste entre ses doigts. Étrange et sombre pensĂ©e qu’il lui faut Ă©crabouiller avec des baisers. Et entre deux, tu sais qu’à l’inverse, imaginons, je meurs, je deviens feu d’artifice, les sourcils froncĂ©s parce que c’était absolument trĂšs sĂ©rieux, je brĂ»le ton prochain mariage, une grandiose certitude, mĂȘme si au coin des yeux rieurs se logeait l’habituelle malice. Ne permettre Ă  personne d’autre d’ĂȘtre avec Elle, suprĂȘme promesse remplie de possessivitĂ©. Une dĂ©claration qu’il ne pouvait pas mettre sur le dos du kiwicot - tant pis. Alors les ongles quittent le visage de Loredana pour aller lui chatouiller le bas du dos, la serrer davantage, facilitĂ© pour le museau d’aller dĂ©ambuler dans le cou et la tombante chevelure, lĂ  oĂč la saveur de la nuit printaniĂšre vient le chatouiller. L'envie de la croquer le picote, partout, se repaĂźtre de l'euphorie dĂ©posĂ©e dans les pores de sa peau. D'ailleurs, alors que sa langue frĂŽlait l'Ă©piderme de l'Amoureuse, tu peux prendre la couleur de la lumiĂšre ? Il rit doucement, sachant pertinemment l'idiotie de sa question, mais il savait aussi Ă  quel point la drogue magique pouvait faire briller Loredana. Si oui, je te ferai scintiller comme un feu d'artifice, mĂȘler encore les sourires, si non, j'ai encore des fusĂ©es dans BĂ©lĂ©saire, plein. La langue tarabiscotĂ©e par les effets de la graine avait certaines difficultĂ©s Ă  transmettre les pensĂ©es folĂątres du Poufsouffle, mais le fond y Ă©tait - presque. Loredana WildsmithMDJ-GestionnaireHarryPotter2005 Re Nuit aux mille et une Ă©prouvantes [TerminĂ©]Loredana Wildsmith, le Ven 24 Avr - 1027 AvertissementCe RP mentionne du contenu sensible Substances illicitesAfficher quand mĂȘmeIl y avait quelque chose d’enfantin, de presque utopique dans l’illusion du Kiwicot. Une lĂ©gĂšre sensation de bien-ĂȘtre que je ne ressentais qu’entre ses bras, lorsque nous Ă©tions seuls, libres de faire ce que l’on voulait. Batifoler Ă  l’extĂ©rieur de la Cabane Ă©tait nouveau et cette activitĂ© n’était pas pour me dĂ©plaire. Si le feu d’artifice apportait quelque chose en plus, j’avais tout de mĂȘme bien du mal Ă  me sĂ©parer de la peau d’Arty qui m’appelait, tentait de me sĂ©duire sans qu’il n’ait Ă  bouger quoique ce soit. Lui-mĂȘme semblait surpris de voir une telle marque d’affection de ma part. Aucune drogue ne peut modifier mes sentiments pour toi. Je le regarde, les yeux pĂ©tillants. Je t’aime comme ça tous les jours. Le Kiwicot me rend simplement plus
dĂ©monstrative. Effectivement, la petite graine magique avait cette tendance Ă  enlever toute pudeur, moi qui montrais beaucoup moins mes sentiments que lui. Je n’avais jamais su faire, mĂȘme si j’étais loin d’ĂȘtre une sans-cƓur qui n’aimait personne. Ceux qui recevaient une rĂ©elle marque d’affection de ma part faisaient partie des privilĂ©giĂ©s. Arty Ă©tait Ă©videmment en premiĂšre ligne. J’aurais voulu me perdre encore quelques instants dans ce cou qui me titillait, m’attirait. C’était sans compter sur le Poufsouffle qui avait dĂ©cidĂ© de s’asseoir, ce qui rendait la position encore plus enivrante. Nous Ă©tions collĂ©s, scellĂ©s et mon corps commençait clairement Ă  rĂ©clamer yeux scrutent son visage dans les moindres dĂ©tails, retenant chacun de ses traits tout en souriant Ă  chaque baiser offert, satisfaite de constater qu’il Ă©tait prĂȘt Ă  faire capoter mon second mariage – si second mariage il y avait. J’espĂšre bien. Je lui rends ses baisers en lui souriant. Je pourrais possĂ©der ta future nouvelle femme qui serait forcĂ©ment bien moins intĂ©ressante que moi. Je ris, la tĂȘte lĂ©gĂšrement penchĂ©e en arriĂšre. Que serait ta vie sans le caractĂšre de Loredana Wildsmith ? Le serrer ensuite contre moi, ne voulant pas envisager une seconde qu’il devienne un feu d’artifice sans moi. Nos Ă©tincelles s’emmĂȘleraient, nous ne ferions qu’un, exactement comme nous l’étions actuellement. MalgrĂ© les diffĂ©rences, nous n’en Ă©tions pas moins soudĂ©s, prĂȘts Ă  tout l’un pour l’autre. Il le savait, mĂȘme si je me doutais que cela devait l’irriter de l’intĂ©rieur Il savait que si un jour il Ă©tait menacĂ© de mort, je ferais tout pour devenir la cible. Il n’y avait rien qu’il pouvait faire contre ça, mis Ă  part m’attacher, mais il savait que ce serait la pire erreur de sa vie. Je profite des baisers qu’il m’offre, la sensation incroyable que cela m’offrait. J’avais l’impression que chacun d’eux Ă©tait meilleur que le prĂ©cĂ©dent et mon corps tremblait Ă  trop en demander. Non. Je ne pouvais pas prendre des couleurs qui sortaient de l’ordinaire. Est-ce que certains MĂ©tamorphomages en Ă©taient seulement capable ? Si oui, il faudrait vraiment que je m’entraĂźne, Arty avait tendance Ă  vouloir que ma peau prenne des couleurs excentriques que je ne pouvais lui offrir. Mais tu peux me faire scintiller quand mĂȘme. Nous en arrivons Ă  des sous-entendus que j’étais peut-ĂȘtre la seule Ă  comprendre. Pourtant mes gestes montraient clairement ce que je voulais. Parce que mon corps remue et mes bras le serrent contre moi, l’embrasse avec une passion multipliĂ©e par dix avec le Kiwicot. Et si je te lĂąche pour que tu ailles chercher une fusĂ©e et que lĂ  c’est toi qui pars en fumĂ©e ? J’ouvre grand les yeux devenus roses pour attirer son attention. La MĂ©tamorphomagie comme moyen de l’hypnotiser, je savais qu’il adorait ça. Non non non, je secoue la tĂȘte comme une petite fille en colĂšre, j’veux pas qu’tu partes en fumĂ©e, pas sans moi. Et je colle de nouveau mes lĂšvres aux siennes pour me sceller Ă  lui. Je sors ma baguette pour lancer un Accio BĂ©lĂ©saire pour faire venir le sac jusqu’à nous. Puis je reprends mon doux chemin sensuel sur l’épiderme du Loup-Garou. Nous n’avions pas eu l’occasion de tester les rapports sous Kiwicot, la pleine lune avait dĂ©cidĂ© de gĂącher ce merveilleux moment. Aujourd’hui serait peut-ĂȘtre l’occasion de se rattraper. Ici, dans la nature, sous les Ă©tincelles colorĂ©es d’un feu d’artifice. Je veux scintiller. Un murmure venu chatouiller l’oreille d’Arty avant de la mordiller. Nous n’avions pas encore fini de jouer. Artemis WildsmithPoufsouffle Re Nuit aux mille et une Ă©prouvantes [TerminĂ©]Artemis Wildsmith, le Sam 25 Avr - 1538 AvertissementCe RP mentionne du contenu sensible Erotisme, Substances illicitesAfficher quand mĂȘmeSes Ă©clats de rire viennent dĂ©vorer ceux de l’Amoureuse, la vie sans elle, ce serait sacrĂ©ment triste. L’alcool et la graine le font entrevoir lĂ -bas dans les sous-bois la vision de ce qu’il serait si elle n’était pas entre ses bras. DĂ©sespĂ©rĂ©ment seul, toujours autant guidĂ© par cette nĂ©cessitĂ© de tout brĂ»ler, agresser, violenter – colĂ©rique petit Poufsouffle sans aucune progression envisagĂ©e. Alors oui, il prĂ©fĂ©rait largement un esprit tourmentĂ© par le caractĂšre tĂ©mĂ©ro-tĂȘtu de la MĂ©tamorphomage, une relation aussi belle que destructive. Il aimerait la remercier d’ĂȘtre lĂ , d’ĂȘtre toujours lĂ , lorsqu’il s’était montrĂ© irritable Ă  cause de la Lune, lorsque ce soir, il avait dĂ©bordĂ© de furiositĂ©. Mais il Ă©tait bien plus intĂ©ressant de parler de scintillements, parce qu’il n’avait envie que de ça, lĂ  maintenant tout de suite, la faire rayonner. Il sourit, s'essouffle, face Ă  l’entrain qu’elle dĂ©pose sur sa peau, le dĂ©sir qu’elle Ă©bauche en l’embrassant ardemment. Il veut la rapprocher davantage – ce n’est pas possible – emmĂȘler leurs Ă©tincelles. Bref mouvement de surprise en voyant BĂ©lĂ©saire dĂ©barquer, mais juste de quoi en sortir quelques fusĂ©es, et ce malgrĂ© la position inadĂ©quate, parce qu’ils refusaient de se lĂącher. Pas le temps de les planter dans le sol, les gestes flous du Fripon les envoient Ă  quelques mĂštres d’eux tandis qu’Odette III se charge de les enflammer avant d’ĂȘtre dĂ©posĂ©e par terre, derriĂšre, avec BĂ©lĂ©saire. Le sifflement des mĂšches embrasĂ©es marque le prĂ©ambule du sublime de suite Madame Wildsmith, parfaitement obĂ©issant, le regard pĂ©tillant, il pousse lĂ©gĂšrement l’Épouse afin qu’elle s’allonge sur le tapis d’herbe humide. Penser briĂšvement qu’ils pourraient crĂ©er un bingo Ă  complĂ©ter de tous les endroits farfelus oĂč ils batifolaient. Mais impossible de rĂ©frĂ©ner un cƓur avide, j’pourrais rester accrocher Ă  tes yeux rose toute la nuit, c’était vrai, rien de tel que des couleurs pour attirer son attention, et puis grĂące Ă  tes yeux, j’partirai pas en fumĂ©e. Du n’importe quoi articulĂ©, mais c’était amoureux, alors forcĂ©ment adorable. Les explosions dans le ciel, centaines de minuscules lampions envolĂ©s empressent l'envie du Loup-garou. Ne pas perdre d’autres secondes dans cette longue longue nuit, rĂ©pondre impatiemment aux exigences de l’AimĂ©e, des scintillements il y aurait. Les baisers se font alors prĂ©cipitĂ©s, donnent le rythme aux caresses qui se dĂ©roulent sous le teeshirt et le pull relevĂ©s. Il ne savoure pas, veut absolument sentir sous ses doigts la luminositĂ© chaleureuse de son Amoureuse pour façonner des Ă©tincelles. Alors le sous-vĂȘtement s’abaisse, laisse place aux toucher envoĂ»tants. Lui-mĂȘme soupire de glisser, s’enrouler au cƓur de l’intimitĂ© qui paraissait l'appeler. Galopins chatouillements chaperonnĂ©s par les baisers avec lesquels il marque la peau brĂ»lante de la jeune femme ; il se dĂ©die entiĂšrement Ă  ce qu’Elle se noie dans la dĂ©lectation, s’applique - contracter le ventre de Loredana, qu’elle se cambre encore, encore. Pendant que la langue se dandine dans le cou, semble vouloir absorber toute la luminescence du corps de l’Autre, sous ses papilles, il Ă©tait certain qu'elle luisait. Oui, les gĂ©missements de l’AimĂ©e Ă©toufferaient dĂ©finitivement les lourdes pensĂ©es de la soirĂ©e. Loredana WildsmithMDJ-GestionnaireHarryPotter2005 Re Nuit aux mille et une Ă©prouvantes [TerminĂ©]Loredana Wildsmith, le Sam 25 Avr - 1836 AvertissementCe RP mentionne du contenu sensible Erotisme, Substances illicitesAfficher quand mĂȘmeLes fusĂ©es s’élançaient dans les airs tandis que je me laissais allonger sur l’herbe. Ignorant le froid et l’humiditĂ© largement dominĂ©s par la chaleur des deux corps rĂ©unis, lĂ  oĂč ils Ă©taient Ă  leur place ensemble. Arty aussi avait sa maniĂšre de faire ressortir un cĂŽtĂ© romantique qu’il avait aussi au quotidien. Pourtant, les mots Ă©taient diffĂ©rents, probablement incomprĂ©hensibles s’ils arrivaient aux oreilles de quelqu’un d’autre. Pourtant, je savais parfaitement oĂč il voulait en venir. Tu partiras pas en fumĂ©e sans moi. Le suivre dans ces paroles complĂštement insensĂ©es, le comprendre. Une coordination parfaite, je voudrais simplement arrĂȘter le temps, rester lĂ , dehors, couchĂ©e sur l’herbe, seule avec lui. Juste lui. Rien que lui. Toujours lui. Je me laisse embarquer dans les embrassades qui se faisaient de plus en plus sensuelles. Les corps ne voulaient pas seulement se toucher, ils voulaient s’unir, brĂ»ler, briller, scintiller ensemble. L’explosion colorĂ©e n’est que l’image de ce qui Ă©tait en train de se passer Ă  l’intĂ©rieur de mon corps. Les yeux Ă©taient plus flashy, diffĂ©rents. Comme si la petite graine avait un effet sur l’intensitĂ© de la couleur de mes yeux au lieu de s’en tenir Ă  dilater mes gestes d’Arty ne tergiversent pas. Il sait oĂč il va, s’en tient Ă  emprunter ce chemin. De mon cĂŽtĂ©, les caresses sont floues, approximatives, brouillons. Lorsque ses doigts frĂŽlent l’endroit du plaisir, c’est une toute nouvelle sensation qui s’empare de moi. La respiration s’accĂ©lĂšre davantage, c’est une sensation dĂ©jĂ  proche de l’orgasme, quelque chose d’absolument nouveau, intense. Je prends son visage entre mes mains sans pour autant le stopper dans ce magnifique feu d’artifice qu’il Ă©tait en train de crĂ©er. C’est extraordinaire ! Je souffle un rire, complĂštement dĂ©passĂ©e par tout ce qui Ă©tait en train de se passer. C’est un corps qui se crispe, qui s’élĂšve, qui en redemande, tandis que je dĂ©vore ses lĂšvres avec un appĂ©tit qui ne m’avait jamais habitĂ© Ă  ce point. Sans attendre davantage, je me retourne brusquement pour me retrouver sur lui. Tenter de lui faire ressentir la mĂȘme chose. Qu’il comprenne. Je m’allonge presque totalement sur lui en surĂ©levant lĂ©gĂšrement le bas pour me laisser la place de dĂ©faire son pantalon afin d’y plonger une main envieuse. Je caresse doucement tout en observant ses rĂ©actions. Puis, je me rends compte que peu importe qu’il s’agisse de mon propre plaisir ou du sien, c’était la mĂȘme chose. J’étais absolument euphorique, je voulais griller toutes les Ă©tapes, ne parvenant pas Ă  retenir un corps absolument accro au sien. Pourtant, je voulais faire durer le plaisir, attendre que lui aussi en redemande tellement les ressentis Ă©taient dĂ©cuplĂ©s. Je ne peux m’empĂȘcher de pousser quelques gĂ©missements, mĂȘler mon souffle au sien, tandis que la chaleur s’emparait de mon corps tout entier. Sans attendre davantage, je stoppe quelques instants, le temps d’enlever le pull et le t-shirt pour dĂ©voiler une poitrine dĂ©jĂ  libre – ça en moins. Mes doigts reprennent leur petit jeu tandis que je me trĂ©mousse sur lui pour accroĂźtre son dĂ©sir encore et encore. Mon corps tremble de plaisir, se languit de retrouver cette union entre nous, entamer une nouvelle chorĂ©graphie, plus intense encore. Est-ce que cela Ă©tait seulement possible ? Notre relation avait Ă©tĂ© trĂšs physique dĂšs le dĂ©part et le temps n’avait pas encore supprimĂ© les papillons dans le ventre. Bien sĂ»r, les sentiments n’y Ă©taient pas pour rien. Je l’aimais d’une façon que je ne pouvais exprimer, mais j’avais besoin de le sortir, lĂ  tout de suite, le dire tout simple. Je t’aime, c’est fou, c’est complĂštement dingue ! Puis descendre, descendre, descendre doucement pour entamer un jeu avec une langue qui chatouille doucement les alentours de sa masculinitĂ©. Rester lĂ  quelques secondes, minutes peut-ĂȘtre, le rendre fou. Toujours le rendre fou. Puis lorsque l’attente avait assez durĂ©e, lui offrir ce qu’il voulait. Artemis WildsmithPoufsouffle Re Nuit aux mille et une Ă©prouvantes [TerminĂ©]Artemis Wildsmith, le Lun 27 Avr - 1030 AvertissementCe RP mentionne du contenu sensible Erotisme, Substances illicitesAfficher quand mĂȘmeL’allĂ©gresse de Loredana le captivait, totalement. Les lĂšvres les yeux les entrailles envoĂ»tĂ©s par l’appĂ©tit qu’elle manifestait si euphoriquement. Et ce qui Ă©tait encore plus dingue encore, qu’elle l’aimait lui. Lui avec ses travers et ses vices ; la drogue comme sĂ©rum de vĂ©ritĂ©, c’était en elle qu’il pouvait placer sa confiance absolue. Presque Ă  sang, il se mord la lĂšvre, les doigts broyant les brins d’herbe alentourant plutĂŽt que les cheveux de l’Amoureuse. Elle le saisit, et elle avait entiĂšrement raison, c’était extraordinaire ; une dĂ©flagration qu’il peine Ă  retenir, Ă  l’intĂ©rieur, il sent la BĂȘte s’ébrouer, ce ne sont plus des gĂ©missements qui viennent remuer les feuilles des arbres mais des rĂąles s’enroulant dans sa gorge – incontrĂŽlables. Des souffles Ă©clatants viennent lui remuer le nombril, lui contracter le ventre et pourtant au summum, alors que le plaisir culmine il retient retient retient. Se redresse brusquement et happe le visage de l’Épouse de fougueux baisers, avant de se lever totalement et de se dĂ©barrasser de ses vĂȘtements. La nĂ©cessitĂ© de dĂ©gourdir ses jambes fĂ©briles, de rĂ©veiller les boucles enivrĂ©es. Il allonge les rĂ©jouissances, petit intermĂšde pour reprendre le souffle, Arty s’approche de BĂ©lĂ©saire. Qu’est-ce qui est le plus jouissif, Loredana ? attraper aussi briĂšvement Odette III, le moment entre l’allumage et l’explosion, lĂ  oĂč les secondes fusent en suspension, ou l’explosion elle-mĂȘme ? C’était une vĂ©ritable question, le plaisir de l’attente, dĂ©guster l’Avant pour mieux profiter du Pendant. Mettre feu Ă  la mĂšche et l’appeler Ă  le rejoindre au mĂȘme moment, viens. De nouvelles explosions lumineuses. Il n’y avait plus l’humiditĂ© fraĂźche de la nuit qui n’allait pas tarder Ă  se dissiper – simplement eux. Eux alors qu’il Ă©treint l’Amoureuse de nouveau entre ses bras adorateurs, serrer les corps. Il veut la goĂ»ter alors que la graine magique tripatouillait l’ensemble de ses sens, vouloir que ses papilles s’imprĂšgnent entiĂšrement de sa saveur. Chemin sinueux qu’empruntent les lĂšvres gloutonnent, elles n’ont pas encore dĂ©passĂ© la gorge qu’elles en rĂ©clament encore. Le bout de sa langue le brĂ»le - chair agrĂ©ablement sucrĂ©e - elle restait toujours aussi dĂ©licieuse. Entreprendre une lente descente engagĂ©e par un j’suis dĂ©solĂ© d’avance. Le kiwicot Ă©crabouillait le garde-fou de la BĂȘte libĂ©rĂ©e – vorace. Les ongles Ă©corchent le dos de la jeune femme sans retenue, griffures affamĂ©es doucement Ă©quilibrĂ©es par les baisers rĂ©pandus sur le buste. Arty murmure autant de je t’aime que de t’es Ă  moi. DĂ©vorer chaque parcelle de ce corps qui le sĂ©duisait tant. Les genoux s’enfoncent dans la terre, il se retrouve face aux cicatrices avec lesquelles il avait marquĂ© Loredana ; elles miroitaient, semblaient l’absoudre de toute culpabilitĂ© – il les embrasse. Étirer l’entrĂ©e de ce repas festif, un avant-goĂ»t aprĂšs lequel il plonge le museau entre les cuisses de la jeune femme, les griffes ancrĂ©es dans ses reins. LĂ , alors qu’il la savoure absolument, la langue s'amuse, se dandine. Les doigts creusent de plus belle la peau, l'empĂȘcher de bouger. Vouloir sentir les jambes de l'Amoureuse dĂ©faillir, qu’elle s’accroche tellement Ă  ses boucles qu’elle les arrache ; vouloir vivifier encore davantage l’euphorie qui lui embrasait le ventre. Loredana WildsmithMDJ-GestionnaireHarryPotter2005 Re Nuit aux mille et une Ă©prouvantes [TerminĂ©]Loredana Wildsmith, le Lun 27 Avr - 1614 AvertissementCe RP mentionne du contenu sensible Erotisme, Substances illicitesAfficher quand mĂȘmeNon non non. C’était les premiers mots auxquels j’avais pensĂ© lorsqu’il s’était relevĂ©. Cette folle envie que l’on reste lĂ , soudĂ©s, que rien ne sĂ©pare ces deux corps absolument affamĂ©s. AprĂšs s’ĂȘtre dĂ©barrassĂ© de ses vĂȘtements, Arty s’était attaquĂ© Ă  faire exploser de nouvelles fusĂ©es, une question Ă  laquelle je n’avais mĂȘme pas rĂ©pondu, tant mes seules pensĂ©es Ă©taient tournĂ©es vers ces fougueux instants qu’il avait brusquement interrompus. Je me contente alors de grogner tandis qu’il me demande de le rejoindre. Mes yeux ne le lĂąchent pas, complĂštement absorbĂ©e par l’effet qu’il provoquait en moi. Il Ă©tait encore plus beau lorsqu’il Ă©tait Ă©clairĂ© par les explosions colorĂ©es. J’avais envie de tendre la main, le toucher encore, assouvir ce besoin que j’avais de lui. À cet instant, simplement profiter de son Ă©treinte, des baisers qu’il dispose jusqu’à ce que ces gestes se fassent plus sauvages. Ses excuses me font sourire, parce que je sais qu’on en arrivait Ă  un moment que j’attendais. Ce moment oĂč il laissait la BĂȘte s’exprimer, se lĂącher. C’est lorsqu’il se met Ă  genoux que l’extase reprend le dessus. Je savais le chemin qu’il empruntait jusqu’au point qui me brĂ»lait. Il s’arrĂȘte quelques instants sur les cicatrices blanchies qui Ă©taient toujours lĂ  et qu’il avait su rendre belles par de simples baisers qu’il dĂ©posait depuis la premiĂšre fois que nos corps s’étaient rencontrĂ©s. Repousser l’instant oĂč il me ferait totalement enfin le moment que je rĂ©clamais. Les mains s’étaient accrochĂ©es Ă  ses boucles et s’amusaient Ă  appuyer doucement pour le faire descendre. Si au dĂ©part il rĂ©sistait, il finit tout de mĂȘme par me donner ce que je voulais. Un sentiment de satisfaction qui dĂ©clenche un gĂ©missement alors que mes doigts se resserrent autour de ses mĂšches. Le bas du ventre s’extasie, s’embrase, tandis que ses jeux de langues provoquent une multitude de frissons dans tout le corps, jusqu’à la pointe de mon crĂąne. J’étais au bord de l’explosion. J’avais besoin de l’avoir contre moi, de le serrer, de le coller, que nous ne fassions qu’un. D’un geste peut-ĂȘtre un peu vif, je tire sa tĂȘte en arriĂšre pour qu’il me regarde. LĂ , je me dĂ©fais de son emprise pour le pousser Ă  s’asseoir Ă  nouveau. D’une hargne nouvelle, je n’attends pas, je n’attends plus, je m’assoie sur lui, provoquant ainsi l’union entre son corps et le mien. La position oĂč nous Ă©tions proches et oĂč la synchronisation de la chorĂ©graphie Ă©tait Ă©vidente. Je pose mon front contre le sien pour pouvoir le regarder dans les yeux, je mĂȘle mon souffle au sien, lui murmurant encore et encore que je l’aimais, complĂštement, tout entier. L’impression que mon corps souffrait de ne pas pouvoir s’exprimer davantage, montrer Ă  quel point il ne voulait pas que cela s’ un Ă©lan sauvage, presque brutal, je le pousse Ă  s’allonger sans rompre le contact, sans nous arrĂȘter. Au contraire, je voulais que l’on explose, que l’on devienne de vrais feux d’artifice, que l’on parte en fumĂ©e, s’envolent en mille Ă©tincelles dorĂ©es. Toujours avec la mĂȘme dĂ©licatesse, je nous retourne sauvagement, Ă©change nos places. Je dĂ©vore ses lĂšvres, son menton sa gorge. Sans m’en rendre rĂ©ellement compte, mes ongles s’enfoncent, s’enfoncent encore et encore dans la peau de son dos. Je ne serai pas la seule Ă  ĂȘtre tatouĂ©e par cet Ă©change fervent, nouveau. Artemis WildsmithPoufsouffle Re Nuit aux mille et une Ă©prouvantes [TerminĂ©]Artemis Wildsmith, le Mar 28 Avr - 1704 AvertissementCe RP mentionne du contenu sensible Erotisme, Sexe violenceAfficher quand mĂȘmeMaintes culbutes et roulades dans la terre, brins d’herbe collĂ©s recollĂ©s, aussi accrochĂ©s que le sourire d’Arty Ă  son minois enchantĂ©. Pas mĂ©content de dĂ©chiffrer sur les traits de Loredana une dĂ©termination sauvage Ă  lui faire s’étoiler les entrailles. Il connaĂźt le besoin de l’Amoureuse, qu’ils soient lĂ  Ă  s’emmĂȘler se regarder sans se lĂącher, les Ă©pidermes en feu. Il avait obĂ©i, sous les fascinantes ondulations du corps de la jeune femme, accueillant ses je t’aime dans ses boucles endiablĂ©es. La nuque s’était Ă©tirĂ©e, des tremblements suscitĂ©s par les indomptables gĂ©missements, tous recroquevillĂ©s dans une bouche brĂ»lante, dĂ©vorĂ©e par l’ardeur des baisers. Jusqu’au Ă©tait facile de dompter la BĂȘte lorsque la Gryffondor menait la danse, subjuguait le dĂ©sir du Wildsmith. Mais la cabriole le place dessus, lĂ  oĂč l’animalitĂ© Ă©tait allĂ©chĂ©e. Le rythme s’exalte, s’affole, annihilant tout Ă  fait les bribes de contrĂŽle encore Ă©parpillĂ©es sur le torse suintant. Les corps s’entrechoquent dans un ballet soudainement, quelque chose lui bourdonne lui gratouille la mandibule puis le canal auditif. Il s’accroche aux lĂšvres mordillĂ©es de l’Épouse, un instant suspendu. Les doigts capturent les racines des cheveux, tire la tĂȘte vers l’arriĂšre, l’enfoncer dans la terre pour dĂ©couvrir la peau blanche de la gorge scintillant sous la nuit ; il se redresse. Une autre main, envieuse et libre, parcourt le cou vulnĂ©rable, Ă  bout de souffle j’entends ton cƓur, vraiment, aussi perceptiblement que le son de sa propre voix, mieux encore, il le sentait cogner dans les veines de la MĂ©tamorphomage. Le regard se perd, sillonne la peau blanche, le cƓur comme comĂšte phosphorescente semble mĂȘme y transparaĂźtre. C’est drĂŽle, ça l’arrĂȘte tout Ă  fait, des battements tonitruants qui appellent Ă  la fois ses tympans et ses crocs. HypnotisĂ© par le sang bouillonnant sous la chair, il l’écoute lui chuchoter Ă  l’oreille le dĂ©sir d’ĂȘtre goĂ»tĂ©. Le Loup se demande, si le kiwicot altĂ©rerait la saveur sanguine. Du doigt, il marque l’endroit oĂč les canines devraient percer, tenter d’orienter l’appĂ©tit pour Ă©viter une trop grave blessure – dĂ©rangeante pour les Ă©bats. C’est lentement qu’il finit par retrouver la peau de la jeune femme, la langue dessine une croix comme on symbolise l’emplacement d’un trĂ©sor, et il n’hĂ©site plus. Dans un souffle impatient, les crocs envahissent la chair, la transperce. Une dĂ©charge d’une extase incroyable s’écoule sur les pupilles, sur les dents et dans la gorge. La graine magique avait embaumĂ© le sang de Loredana. Une bestialitĂ© rĂąleuse qui en veut plus, encore plus – assoiffĂ©e. Sous la frĂ©nĂ©sie, les va-et-viens reprennent, impĂ©tueux. La langue se dĂ©lecte autant du nectar que le bas-ventre des sensations. Se plonger en elle dans le mĂȘme temps, la savourer. Un dĂ©clenchement de fĂ©licitĂ© provoquĂ© par sa premiĂšre morsure, il est incapable de s’arrĂȘter, les neurones aliĂ©nĂ©s Ă  cette fĂ©roce gourmandise ; les dents s’en vont rencontrer d’autres endroits, et laissent sur leur passage la marque satisfaite des incisives. Chemin rougi de la gorge jusqu’à la poitrine, tout cela sous les contractions du ventre, et les expirations enfiĂ©vrĂ©es. Sentir les vagues de plaisir atteindre l’apogĂ©e, le faire frissonner jusqu’au bout des ongles enfoncĂ©s dans la cuisse de la Demoiselle. Tandis que l’autre main quitte finalement les mĂšches de la MĂ©tamorphomage afin d’encercler sa gorge, c’est avec une certaine facilitĂ©, et cette fois sans la crainte de la culpabilitĂ© qu’il commencer Ă  resserrer la prise. Retrouver la jouissance de la tenir absolument entre ses griffes. Loredana WildsmithMDJ-GestionnaireHarryPotter2005 Re Nuit aux mille et une Ă©prouvantes [TerminĂ©]Loredana Wildsmith, le Mer 29 Avr - 1047 AvertissementCe RP mentionne du contenu sensible Erotisme, Sexe violenceAfficher quand mĂȘmeUne phrase prononcĂ©e qui donnait presque un cĂŽtĂ© romantique Ă  cet Ă©change pourtant frĂ©nĂ©tique. Je souris entre deux souffles, il devait probablement l’entendre parfaitement. Moi-mĂȘme je pouvais presque en distinguer le son tant il cognait fort contre ma poitrine Ă  un rythme effrĂ©nĂ©. Il pourrait sortir, s’échapper, se faufiler pour aller rejoindre l’autre, se mĂȘler Ă  lui. J’avais souvent cette impression qu’il souffrait de tant s’emballer. La graine prise aujourd’hui ne devait en rien arranger cet effet-lĂ . En Ă©changeant nos places, j’étais parfaitement consciente des risques, je n’étais plus celle qui tenait les rĂȘnes. La bĂȘte avait le dessus, elle aimait ça et allait forcĂ©ment tenter quelque chose de plus fou encore. Pourtant, aucune crainte ne pouvait se lire sur mon visage. Au contraire, je ne prĂȘtais attention qu’à ce qui Ă©tait en train de se passer. La folle envie que la chorĂ©graphie interrompue reprenne encore et encore. Pour le moment, je me contente d’admirer le spectacle, les ongles plantĂ©s dans la peau de son dos, les cuisses resserrĂ©es autour de lui. Ce sont quelques instants qui transforment l’euphorie en quelque chose de plus Ă©rotique. Chacun de ses gestes provoquaient en moi une sensation diffĂ©rente, certaines que je ne reconnaissais mĂȘme pas. J’avais vraiment l’impression que mon corps pouvait prendre n’est que lorsque ses crocs pĂ©nĂštrent dans ma peau que l’échange reprend oĂč il s’était arrĂȘtĂ©. La morsure et l’amour mĂ©langĂ©s, une danse unique qui s’unissait avec le souffle du vent. Mes mains se posent brutalement sur l’herbe que j’arrache par poignĂ©e. Le corps entier comme possĂ©dĂ© par celui du Loup qui marquait tous les endroits qu’il estimait ĂȘtre sien. Mes yeux se ferment pour faire appel Ă  ces autres sens dĂ©cuplĂ©s par les effets du Kiwicot. Celui que je prĂ©fĂ©rais le toucher. Mais cette fois-ci, je ne me contentais pas d’explorer son visage de mes mains, sentir et reconnaĂźtre chacun de ses traits. Cette fois, je me laisse aller dans l’exploration de toutes ses sensations que ses touchers Ă  lui provoquaient en moi. Je me mordais les lĂšvres une nouvelle fois pour Ă©touffer les cris qui pourraient se faire entendre dans tout village. C’était sans compter sur la main qui encercle ma gorge, la prend en otage. Je sais parfaitement ce qu’il veut, ce qu’il cherche et il sait, il sait que c’est une chose qu’il peut se permettre. L’emprise se referme, se serre, se serre, jusqu’à ce que la pulsation du sang se ressente dans mes tympans. Les yeux s’ouvrent pour le regarder tandis que ma poitrine se soulĂšve. Le corps en extase, la tĂȘte au bord de l’explosion, les pensĂ©es divaguent, le corps expulse toutes les restrictions, tous les filtres. Il n’y avait probablement plus aucune limite Ă  cet Ă©change. Parce que l’on se connaissait par cƓur dĂ©sormais. Les envies de l’Autre n’était plus un secret. Ma main vient alors attraper sa gorge Ă  lui, qu’il ressente ce que je ressens aussi. Serait-il autant embrasĂ© par le fait d’entendre son cƓur en mĂȘme temps que le mien ? D’une pression de la main, je commence Ă  serrer tout en le tirant vers moi pour l’embrasser, jouer avec ma langue sur ses lĂšvres. Mon regard le fixe une nouvelle fois, une communication visuelle lorsque les mots n’étaient pas assez nombreux pour s’exprimer. Un sentiment frustrant mais j’espĂ©rais, qu’il comprendrait Ă  quel point mon regard rose pouvait parler Ă  ma n’est qu’aprĂšs cet Ă©change que je sens le bas-ventre s’agiter, se secouer, l’apogĂ©e approche et mes jambes l’encercle, le compresse, le serre, tandis que je ne peux retenir de nouveaux gĂ©missements que je laisse s'Ă©chapper, que je ne retiens plus. Tant pis pour les oreilles indiscrĂštes, il ne verrait lĂ  que l’échange violent et fougueux de deux Amoureux insatiables. La respiration saccadĂ©e, je relĂąche mon emprise, la tĂȘte tournante, le corps tremblant, dĂ©goulinant d’une trop grande quantitĂ© d’émotions. Les yeux se lĂšve vers les Ă©toiles, le cerveau comme retournĂ©, manipulĂ©, peut-ĂȘtre mĂȘme hypnotisĂ©. Était-ce un rĂȘve ou la rĂ©alitĂ© ? Artemis WildsmithPoufsouffle Re Nuit aux mille et une Ă©prouvantes [TerminĂ©]Artemis Wildsmith, le Ven 1 Mai - 041 AvertissementCe RP mentionne du contenu sensible Erotisme, Substances illicitesAfficher quand mĂȘmeUne respiration essoufflĂ©e, emportĂ©e, brutalement coupĂ©e par la main de Loredana lui Ă©crasant la trachĂ©e. Et les pommettes s’éclairent, pendouillent aux iris rosĂ©s dont elles ne peuvent pas se dĂ©tacher. Sensation Ă©poustouflante – nouvelle. Les sensations s’emmagasinent Ă  l’intĂ©rieur, ne peuvent plus s’échapper, ĂȘtre extĂ©riorisĂ©es. Alors ça brĂ»le, ça implose, tout simplement. Les bassins s’entrechoquent davantage se heurtent, il voudrait mĂȘme qu’elle resserre encore sa prise, plus fort, plus fort. C’était sans compter sur les cuisses agrippĂ©es Ă  lui, le bousculement des entrailles Ă©merveillĂ©es, ne rien pouvoir retenir ni contrĂŽler. Cette bĂ©atitude d’ĂȘtre tout Ă  fait captif des vagues de dĂ©lice, puissantes ; des battements de son cƓur qui venaient fredonner Ă  ses tempes brĂ»lantes. Alors sans rien maĂźtriser, il finit par se dĂ©verser dans un jouissif acmĂ© ; jouir en elle n’avait jamais Ă©tĂ© si prodigieux. RĂ©pandre mille ricochets d’étincelles au creux de son ventre ; il l’embrasse passionnĂ©ment – comblĂ©. FascinĂ©, il cueille les Ă©chos des gĂ©missements de l’Amoureuse un peu partout dans l’herbe, avant de s’affaler juste Ă  cĂŽtĂ© d’elle, attachĂ© Ă  son lĂšvres rĂȘveuses, il continue tout de mĂȘme Ă  parsemer sa peau de mots d’amour, de brefs baisers, petits dĂ©bris des Ă©bats furieux. RĂ©parer les nombreuses morsures ornant l’épiderme de l’Épouse, ne laisser aucune once de goutte de sang s’échapper. La langue rit, de la sulfureuse Ă©treinte qui restera Ă©pinglĂ©e Ă  la racine des boucles pour encore de longues minutes. Le temps de caresser une derniĂšre fois le ventre de la jeune femme, une poitrine encore haletante. Faudra pas qu’t’oublies de prendre la petite pilule, espiĂšgles dents qui s’en vont susurrer Ă  l’oreille de la Gryffondor, parce que si on est des feux d’artifice, tu peux ĂȘtre sĂ»re qu’en explosant, on a fait plein de bĂ©bĂ©s Ă©tincelles. C’est rigolo, il ne parlait d’éventuelle progĂ©niture que pendant l’amour, ou aprĂšs ; mais aujourd’hui, il n’était plus vraiment trĂšs sĂ»r. AprĂšs la crise, aprĂšs les souvenirs familiaux brisĂ©s en morceaux, le Wildsmith n’avait pas la carrure pour engendrer un bambin. Les boucles s’en vont soupirer contre la terre, il s’accroche aux Ă©toiles, le kiwicot leur donne de drĂŽles de visages affables, on dirait qu’elles font signe Ă  Arty ; de rester lĂ , d’encore profiter avant que le soleil ne se lĂšve et dĂ©cide que la journĂ©e suivante ne serait que ruminations de la vieille. Non, il veut absolument rester prĂšs d’Elle, empreindre dans ses narines qui se dĂ©cident Ă  envahir la nuque de l’AimĂ©e, son odeur, sa saveur. J’te pensais pas Ă©trangleuse tiens, quelle conversation, c’était bien. Et c’était un euphĂ©misme, ça se voit Ă  ses joues rougissantes et Ă  sa lĂšvre pincĂ©e de timiditĂ©. Se dĂ©tacher complĂštement d’elle serait laisser place Ă  l’introspection, ce qu’il refusait pour le moment. Tu m'caches dans tes cheveux pendant quelques jours ? Il adorerait ĂȘtre un petit bonhomme minuscule glissant sur les ondulations de la MĂ©tamorphomage. Le cerveau demeurait encore lĂ©gĂšrement embrumĂ© par la graine magique, par la montĂ©e exquise des hormones. DĂ©guster les rĂ©pliques des spasmes de l’orgasme, de toute façon, il Ă©tait encore incapable de se mettre debout. Loredana WildsmithMDJ-GestionnaireHarryPotter2005 Re Nuit aux mille et une Ă©prouvantes [TerminĂ©]Loredana Wildsmith, le Sam 2 Mai - 2150 AvertissementCe RP mentionne du contenu sensible Substances illicitesAfficher quand mĂȘmeUn contact que l’on se refusait de rompre, comme si la prĂ©sence de l’autre donnait l’impression que l’on Ă©tait Ă  notre place, chez nous, l’endroit en lui-mĂȘme importait peu. MalgrĂ© des Ă©bats violents, de moins en moins romantiques, l’aprĂšs Ă©tait toujours douceur, caresses et baisers dĂ©posĂ©s un peu partout. Ceux d’Arty avaient un effet curatif aprĂšs de nombreuses plaies créées par la simple force de ses dents. De nombreuses traces de morsures qui me piquaient, mais qui avaient le don de pimenter nos Ă©changes, les rendre plus intenses encore, car ce sentiment d’appartenance rĂ©ciproque Ă©tait ce qui rendait chaque chorĂ©graphie aussi unique les unes que les autres. Des feux d’artifices qui changeaient de couleur, prenaient une forme nouvelle Ă  chaque lancer. Je ne m’en lassais pas, jamais et l’effet Ă©tait encore plus grand lorsque les sens Ă©taient amplifiĂ©s par l’effet d’une simple graine. Je la prends la petite pilule, je crois, peut-ĂȘtre pas tout le temps, mais je me souvenais l’avoir pris il n’y a pas si longtemps que ça. MalgrĂ© les mises en garde au MinistĂšre sur l’importance de la prendre tous les jours, je n’avais absolument rien pour me prĂ©venir, me dire Hey Lore, c’est le moment vite tu vas oublier encore petite idiote inconsciente, alors oui, ce n’était pas rĂ©gulier, mais pour le moment, aucun bĂ©bĂ© en vue, mĂȘme si ce serait drĂŽle d’avoir un bĂ©bĂ© feu d’artifice multicolore. Tout le monde serait jaloux tellement il serait beau ! Jamais je ne parlais ainsi habituellement. L’effet du Kiwicot ? Le sentiment de bien-ĂȘtre de l’aprĂšs ? Ou un gain de confiance en voyant notre relation se stabiliser ?NĂ©anmoins, ce n’était pas vraiment le moment de parler de notre progĂ©niture tout de suite. Pas aprĂšs le dĂ©but de soirĂ©e mouvementĂ© Ă  cause d’un problĂšme de famille, de parents, d’enfant cachĂ©. La vie Ă©tait pleine de surprises, de dĂ©ceptions, d’évĂ©nements tristes et heureux. Je ne voulais pas avancer trop vite. Lorsque le moment sera venu, on le saura et l’on sera tous les deux heureux de cette nouvelle-lĂ . En attendant, se concentrer sur le prĂ©sent, rire des paroles de l’Amoureux qui avait semblĂ© apprĂ©cier ce geste inattendu. Ça t’étonne ? C’était une rĂ©elle question. Pourtant, tu n’es pas sans savoir que si je pouvais tuer quelqu’un juste avec une pression de main, ce serait pour moi la meilleure façon. Mais pas trĂšs prudent selon les paroles du Poufsouffle qui prĂ©fĂ©rait la protection de la baguette. Je me rappelais de ce sort utilisĂ© sur ma tante pour l’étouffer. Je l’avais regardĂ©e du dĂ©but jusqu’à la fin, la lumiĂšre de ses yeux s’éteignait tandis que le sang coulait de l’arriĂšre de sa tĂȘte. Pourquoi avoir peur de tuer lorsque la personne le mĂ©ritait ? Le souvenir de cet Ă©vĂ©nement accĂ©lĂšre de nouveau mon rythme cardiaque. Je me souvenais trĂšs bien de chaque sensation ressentie Ă  ce souvenirs disparaissent dans un nuage de fumĂ©e en sentant Arty revenir prĂšs de moi. Mes cheveux sont tout Ă  toi, pour tooout le temps que tu souhaites, petite pause avant de reprendre, mĂȘme s’ils ne deviendront jamais de la barbe Ă  papa. D’ailleurs, ne m’avait-il pas dit qu’il m’en ferait un jour ? J’attends toujours de connaĂźtre le goĂ»t d’ailleurs, Monsieur Wildsmith. LĂ , tourner la tĂȘte pour l’embrasser, emmĂȘler mes jambes aux siennes. Marquer ma prĂ©sence Ă  chaque moment, les bons comme les pires. Lui faire comprendre par de simples gestes que plus rien ne pourrait me faire fuir, dĂ©sormais. L’alliance Ă  mon doigt en Ă©tait la preuve. La petite graine comme frontiĂšre entre le monde rĂ©el et le nĂŽtre créé de toute piĂšce. Si on s’enfermait dans cette boĂźte pour toujours ? Tu n’aurais plus besoin de mes cheveux pour te cacher. Le romantisme toujours Ă  son apogĂ©e. La pudeur dont je faisais preuve habituellement n’était plus. Pas de filtres, pas de mensonges. Peut-ĂȘtre plus efficace qu’une goutte de Veritaserum. Artemis WildsmithPoufsouffle Re Nuit aux mille et une Ă©prouvantes [TerminĂ©]Artemis Wildsmith, le Mar 5 Mai - 1640 Hocher la tĂȘte silencieusement, quelque part dans les entrailles du Poufsouffle, il y avait toujours ce doute, entre l’envie capricieuse d’un petit bĂ©bĂ© et la raisonnabilitĂ© de se dire que ce serait une sacrĂ©ment mauvaise idĂ©e. Et puis, Loredana ne le souhaitait pas, elle l’avait dit, rĂ©pĂ©tĂ©, affirmĂ©. Mais elle avait entiĂšrement raison sur une chose, ils feraient le plus beau bĂ©bĂ© du monde, un bambin parfait. Et si le kiwicot avait cette belle vertu d’agiter le romantisme sur la langue de l’Amoureuse, pour Arty, cela le plongeait dans des rĂȘveries nĂ©buleuses. C’est qu’il voyait distinctement la petite silhouette d’un chĂ©rubin courir sur les ondulations brunes de la MĂ©tamorphomage, il l’entendrait mĂȘme rigoler. Aussi nettement que le rire de Loredana Ă  l’évocation de l’étranglement. Ça ne l’étonne pas tellement en vĂ©ritĂ©, il savait qu’elle prĂ©fĂ©rait l’asphyxie Ă  la pyromanie – personne n’est vraiment parfait – ce qui avait Ă©tĂ© flamboyant c’était la façon dont cette strangulation avait Ă©tĂ© jouissive. La frustration Ă  son apogĂ©e de ne mĂȘme plus pouvoir respirer. Il y avait dans l’amour, le plaisir de la brutalitĂ© intense, tout Ă  fait Ă©vaporĂ©e lorsqu’ils Ă©taient tous deux allongĂ©s, aprĂšs. Dans l’aprĂšs, il n’y avait que la douceur et le sucrĂ©, quelque chose de la barbe-Ă -papa. Il pense Ă  la joie des fĂȘtes foraines moldues, aux friandises que l’on pouvait y goĂ»ter, ce serait bientĂŽt l’étĂ©, j’t’emmĂšnerai, et on se goinfrera de barbe-Ă -papa. Le tournoiement des manĂšges et des lumiĂšres, ce serait un merveilleux rendez-vous amoureux. Oui, il fallait qu’il note ces idĂ©es quelque part dans la partie romantiques projets de son cerveau. Pour plus tard, pour occuper une douce aprĂšs-midi ensoleillĂ©e. Pour le moment, simplement profiter de prolonger l’étreinte de baisers qui n’en finissaient pas. Chasser les premiers frissons de fraĂźcheur qui revenaient Ă  la charge en mĂȘme temps que la lumiĂšre affichait ses tout premiers rayons. Continuer de l’embrasser pour dans une derniĂšre culbute la ramener sur lui, contre lui. l’Amoureuse Ă©tait la prĂ©cieuse barriĂšre entre lui et les contrariĂ©tĂ©s de la vie. Alors avec de dĂ©licates caresses et des lĂšvres reconnaissantes, le lui montrer, le lui prouver, Ă  quelle point elle Ă©tait importante pour lui. Malheureusement, la rĂ©alitĂ© Ă©tait ce monstre qui vous sautait dessus, dans le dos, alors que vous cherchiez Ă  vous enfuir. Pas moyen d’y Ă©chapper, mĂȘme s’ils parvenaient Ă  crĂ©er une bulle opaque Ă©paisse, le quotidien avait cette fĂącheuse tendance de tout piquer sur son passage. Alors il soupire, il faudrait rĂ©flĂ©chir rĂ©flĂ©chir tergiverser Ă  propos de Riley, ses parents, entrevoir des solutions et prendre une dĂ©cision, retourner voir sa sƓur, essuyer toute la haine qu’elle allait sĂ»rement lui cracher Ă  la figure. Mais demain. Demain, dĂšs l’aube, le cerveau se mettrait Ă  lui nouer le ventre d’angoisse Ă  propos de ce qui l’attendait. Des moments d’une incroyable gĂȘnance, voilĂ  ce qui le menaçait vraiment, un retournement de vie et de passĂ©. Il faudra qu’tu sois lĂ , quand on sortira de la boĂźte, pour lui accrocher les pieds un petit peu dans le bonheur, l’empĂȘcher d’exploser de mĂ©lancolie, d’animositĂ©. Une prĂ©sence et des papouilles qui lui rappelleraient qu’elle Ă©tait lĂ . Loredana WildsmithMDJ-GestionnaireHarryPotter2005 Re Nuit aux mille et une Ă©prouvantes [TerminĂ©]Loredana Wildsmith, le Mer 6 Mai - 1954 J’aimerais que tout s’arrĂȘte, maintenant. Qu’il fasse exploser une derniĂšre fusĂ©e qui s’arrĂȘterait en plein vol, laissant des milliers d’étincelles colorĂ©es stoppĂ©es, les reflets sur notre peau Ă  tous deux. Il n’y aurait plus de couleur nuit qui commençait d’ailleurs Ă  laisser sa place Ă  un ciel plus clair qui laisserait sa place Ă  son tour Ă  un lĂ©ger voile rosĂ© cachĂ© derriĂšre les nuages. C’est drĂŽle cette façon dont on pouvait passer d’une extrĂȘme Ă  l’autre. Son arrivĂ©e Ă  la Cabane n’avait pas Ă©tĂ© sans casses, sans cris, sans craintes, sans colĂšre. Au contraire, j’avais eu peur durant un instant qu’il dĂ©passe les bornes, me blesse comme il avait failli le faire. Il avait cette habitude de toujours essayer de faire ressentir Ă  l’Autre ce que lui ressentait. Mais ce soir, il savait que ce n’était pas Ă  moi qu’il en voulait, il avait fini par le comprendre et avait acceptĂ© que les choses se passent autrement que dans les cris et les mots dĂ©placĂ©s. Et finalement, la soirĂ©e s’était poursuivie dans la douceur de l’amour et la violence des Ă©changes corporels. Le tout se terminant dans un romantisme qu’Arty connaissait bien et que je dĂ©couvrais sous Kiwicot. J’en venais presque Ă  regretter que les effets ne soient pas permanents. Que l’on reste ainsi, nus, allongĂ©s sur l’herbe refusant de penser Ă  une rĂ©alitĂ© meurtriĂšre. Mais j’accueillais cette proposition et ses baisers les bras ouverts, le sourire collĂ© sur mon sensation Ă©lectrisante de ne jamais ĂȘtre rassasiĂ©e, me rendre compte que j’avais toujours besoin de le sentir contre moi et la graine magique accentuait ce sentiment de dĂ©pendance totale. Je plonge ma tĂȘte contre lui, le nez dans les boucles, les mains caressent son visage, sa nuque, ses bras, ses mains
 Lui montrer par de simples gestes qu’il pouvait Ă©videmment compter sur moi. Je serai lĂ  Ă  la sortie de la boĂźte ! Un baiser, deux baisers, trois baisers. Tu n’peux plus te dĂ©barrasser de moi. Et ça continue ainsi encore quelques minutes, quelques heures peut-ĂȘtre. Entre cĂąlins, mots doux et baisers romantiques. Parce que l’on savait que les minutes Ă©taient comptĂ©es. Parce qu’un feu d’artifice, aussi magnifique soit-il, restait Ă©phĂ©mĂšre. Ça explose, c’est joli, puis ça se termine. C’était probablement la raison pour laquelle nous n’étions pas parvenus Ă  nous sĂ©parer, Ă  nous lever aprĂšs l’amour. Parce qu’on savait ce que cela engendrerait. Le ciel s’éclaircissait en mĂȘme temps que les effets du Kiwicot se dissipaient sans nous laisser la chance de l’en empĂȘcher. Cette saletĂ© de graine malicieuse qui avait un goĂ»t de reviens-y. Juste parce que j’avais envie de conserver cette illusion, fermer les yeux. Le soleil matinal se rĂ©veille, le rythme cardiaque ralentit, le vent refroidit ma peau. Je tremble. L’illusion disparaĂźt. Les visages perdent de leur lumiĂšre Ă  chaque tic-tac inaudible, mais bien prĂ©sent quelque part. Retour brutal Ă  la du RP Re Nuit aux mille et une Ă©prouvantes [TerminĂ©]Contenu sponsorisĂ©, le Permission de ce forumVous pouvez Vous ne pouvez pas rĂ©pondre aux sujets dans ce forum
Lesruses de Chantal Mouffe, on le voit, nous tirent bien loin des visions d’Ernesto Laclau. L’adieu au socialisme. On comprend ainsi que le mot «
JEU DANS LEQUEL NOS MAINS ET PIEDS S ENTRELACENT - Mots-FlĂ©chĂ©s & Mots-CroisĂ©s Recherche - DĂ©finition Recherche - Solution La meilleure solution pour JEU DANS LEQUEL NOS MAINS ET PIEDS S ENTRELACENT Solution DĂ©finition TWISTERJEU DANS LEQUEL NOS MAINS ET PIEDS S ENTRELACENT EN 7 LETTRES Solution DĂ©finition SOLIL EST SOUS NOS PIEDSON Y A LES PIEDSSOUS NOS PIEDSTERRAIN SUR LEQUEL ON BATITTERRAIN SUR LEQUEL ON MARCHETARSESILS SONT A NOS PIEDSOS DES PIEDSPARTIES DES PIEDSPARTIES POSTERIEURES DES PIEDSTARSEDANS NOS PIEDSIL EST A NOS PIEDSJEU D'OSSELETSEDREDONCOUVRE-PIEDSIL RECHAUFFE NOS NUITSETFAILLIT RESTER LES PIEDS SUR TERREUN PLUS AVEC LEQUEL ON PEUT COMPTERPRIEREACTE DE JOINDRE LES MAINS ET DE S'ADRESSER A DIEUACTE PAR LEQUEL ON S'ADRESSE A DIEUCIREURUN HOMME QUI SE MET A VOS PIEDSDAIMBETE A NOS PIEDSSA ROBE PEUT FINIR A VOS PIEDSISISFEMME DE NOS REVESLA FEMME DE NOS REVESLIGOTER NAGEFAIT DES PIEDS ET DES MAINSNAGEUSE ALTIMETRECOMPTE LES PIEDSIL PEUT MESURER NOS ENVOLSMET LES PIEDS DANS LE COCKPITCAISSIERA LES MAINS DANS LE LIQUIDEIL ENCAISSE NOS ACHATSCIRAGES'ETALE A NOS PIEDSDDTNE FAIT PLUS DE MAL DE NOS JOURSPOUDRE POUR LES PIEDSEXTREMITES JARDINIERE PINCESDES PIEDS ET DES MAINSSAVATEELLE EST A NOS PIEDSSE TRAINE A NOS PIEDSJe propose une nouvelle solution ! Compte-rendu de la recherche pour JEU DANS LEQUEL NOS MAINS ET PIEDS S ENTRELACENT Lors de la rĂ©solution d'une grille de mots-flĂ©chĂ©s, la dĂ©finition JEU DANS LEQUEL NOS MAINS ET PIEDS S ENTRELACENT a Ă©tĂ© rencontrĂ©e. Qu'elles peuvent ĂȘtre les solutions possibles ? Un total de 21 rĂ©sultats a Ă©tĂ© affichĂ©. Les rĂ©ponses sont rĂ©parties de la façon suivante 1 solutions exactes 0 synonymes 20 solutions partiellement exactes
226DANIEL DUBUISSON. conférant pratiquement la densité d'un objet solide. De plus, et puisque d'une maniÚre ou d'une autre, c'est toujours du monde ou de l'un de ses aspects qu'il est question, c'est aussi eux que le texte, par l'entrelacs des signes, emprisonne, les transformant en objets ordonnés, réticulés et circonscrits, visualisables par conséquent (mais aussi conceptualisables
La solution Ă  ce puzzle est constituéÚ de 7 lettres et commence par la lettre T CodyCross Solution ✅ pour JEU DANS LEQUEL NOS MAINS ET PIEDS S'ENTRELACENT de mots flĂ©chĂ©s et mots croisĂ©s. DĂ©couvrez les bonnes rĂ©ponses, synonymes et autres types d'aide pour rĂ©soudre chaque puzzle Voici Les Solutions de CodyCross pour "JEU DANS LEQUEL NOS MAINS ET PIEDS S'ENTRELACENT" CodyCross Sous L Ocean Groupe 24 Grille 1 3 0 Partagez cette question et demandez de l'aide Ă  vos amis! Recommander une rĂ©ponse ? Connaissez-vous la rĂ©ponse? profiter de l'occasion pour donner votre contribution! CODYCROSS Sous L Ocean Solution 24 Groupe 1 Similaires
4Juin, 2022. La rĂ©volte contre le pouvoir policier au lendemain du meurtre de George Floyd constitue l'horizon infranchissable de notre temps. Les limites auxquelles elle s’est heurtĂ©e dĂ©finissent aujourd’hui nos possibilitĂ©s politiques et vitales. Les rĂ©flexions que nous livrons ici se proposent de revenir sur une partie de ces Ă©cueils.
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Harry Potter 2005 ~€~ Autres Lieux Magiques ~€~ Les villagesKohane W. UnderlindenMDJ-GestionnaireHarryPotter2005 Re Parc de Godric's HollowKohane W. Underlinden, le Sam 13 AoĂ» - 1454 AtmosphĂšre je-ne-sais-quoi. D'une pression invisible, inconsistante peut-ĂȘtre mĂȘme inexistante. Mais il y a quelque chose. Cette fille... Une chose qui nous rapproche et nous Ă©loigne en mĂȘme temps. Une tristesse, une nostalgie commune. Un besoin de se voir du coin de l'oeil, s'effleurer du bout des doigts et se fuir Ă  grandes enjambĂ©es. Parce que l'autre est le reflet de ce qu'on est. Ce qu'on est devenu. Qu'on n'aimerait pas ĂȘtre. Parce qu'avant... avant les joies et les rires, les moments de bonheur et les sourires. Tout ça... tout ça... envolĂ©. Et l'autre est lĂ  pour nous le rappeler. Le visage fermĂ©, crispĂ© face au monde qui continue de tourner. L'air absent, loin de tout et en mĂȘme temps si proche. Loin de nous et pourtant Ă  deux doigts de nous regard qu'elle envoie, qu'elle renvoie... je me lis dans sa pupille. Elle est loin et pourtant, je m'y vois. Globe oculaire. Je vois ma dĂ©tresse, mine pas savoir ce qu'on fout ne pas se poser la question. Qu' est lĂ . Elle. Moi. C'est tout. Ca suffit parce que, savoir le pourquoi du comment ne mĂšnera Ă  me regarde. Je la regarde. C'est la seule chose qui que derriĂšre, en arriĂšre-fond lointain, les rires d'enfants. Comme une camĂ©ra centrĂ©e sur nous. Gros plan. Alors que le parc et tout le reste... tout est dans le flou. Ce n'est pas ça l'important. Ce n'est au dĂ©cor qu'on se rattache. Seulement Ă  elle. Et une histoire entre toi. Et aventure tu ne veux pas parler. Moi non plus. On est bien mieux comme pincĂ©es, lĂšvres serrĂ©es. Pas un son. Les cordes vocales sont en pause. Il n'y a rien d'autre que les yeux qui bougent, se cherchent, tentent de s'accrocher et se comprendre. Seulement ce mouvement. Gauche Ă  droite. Haut en bas. Puis l'inverse. Droite Ă  gauche. Bas en se dĂ©visage sans gĂȘne. Pourquoi rougirions-nous de cela ? Nous ne sommes plus dans la logique des conventions sociales. On ne montre pas les gens du doigt ! ArrĂȘte de le/la regarder ainsi, c'est gĂȘnant ! Eh, pourquoi tu me fixes, toi ?! Nous sommes hors de tout ça. A planer entre tout ce qui rĂ©git notre monde. La politesse, le faux-semblant, dire ça va parce que de toutes les façons, la question n'est que rhĂ©torique. Nous n'entrons dans aucune catĂ©gorie. Nous sommes juste sur notre plan Ă  nous. LĂ  oĂč s'observer en silence est normal. Se comprendre sans un mot. Car il n'y a pas besoin de il y a cet imperceptible mouvement. Que je suis la seule Ă  voir. A il y a la tĂȘte qui se penche. A peine quelques millimĂštre. Lenteur incroyable. Tout tourne au ralenti. MĂȘme les rires des enfants s'entendent de plus en plus penche la tĂȘte. Elle s'interroge. Pourquoi ? Comment ? Qui ?Puis-je seulement rĂ©pondre Ă  toutes ces questions qui Ă©manent de ce seul ĂȘtre ?Et toi ? RĂ©pondras-tu aux miennes ?Je veux fuir Ă  ce moment lĂ . La fuir. Parce que ses questions m'obligent Ă  me recentrer. M'interroger. Sur des choses que j'ai tellement interrogĂ©es et que je n'ai plus envie de Ă  nouveau les braises qu'on souhaiterait voir s' Je ne veux pas. Ne peux pourtant. ne bouge pas parce qu'elle agit sur moi comme un aimant. Nul ne peut contrarier les lois de la ne bouge ferme les contact visuel est rompu. Me voilĂ  dans le noir. LĂąche que je suis. Toujours s'enfermer dans le noir. Loin des autres, loin du monde. Loin des problĂšmes et ne pas chercher les solutions. Avoir l'illusion de courir aprĂšs alors qu'en vĂ©ritĂ©, on ne veut pas les trouver. Alors les problĂšmes demeurent tandis qu'on se ment y'a pas d'solution ! Or il y en a toujours. Je suis juste trop lĂąche pour m'y barriĂšre des paupiĂšres closes. La protection des paupiĂšres si, ne pouvant la voir, elle avait complĂštement un mirage. Juste un fruit de mon mĂȘme temps, une voix crie que non, Ă  nouveau, je me mens. A nouveau, je me Ă  ses question ? Muette, silencieuse... d'un seul regard, lui dire...? Tout ? Ou vĂ©ritĂ© partielle ? Parce que tout ce que je cache, je veux que ça demeure secret. Parce que je ne la connais pas et que...La logique se brise. En mille morceau. Je vous l'ai dit nous ne sommes plus dans le monde dans lequel nous avons l'habitude de vivre. A prĂ©sent, nous sommes dans une dimension oĂč tout ce qui serait illogique devient logique. Ou plutĂŽt oĂč logique et illogisme n'existent plus alors tout est permis. Sans se poser de une Alice au Pays des Merveilles, j'accueille tout sans rien trouver mutuellement avec tant d'insistance... oui, pourquoi pas ?Les paupiĂšres se rouvrent. Elle n'a pas bougĂ©. Toujours de temps s'est Ă©coulĂ© ?Il n'y a plus de les coeurs qui battent dans la poitrine parce qu'on est les respirations feuille d'automneEmportĂ©e par le ventEn ronde monotoneTombe en tourbillonnantTombe sur le nous. Au milieu de nous. Comme une nouvelle paupiĂšre close. Comme une nouvelle mes yeux la rattrapent, la fille. L'accrochent, ne la lĂąchent plus. La regardent, sombres, Ă©teints et pourtant brillants dans le je dĂ©plie mon bras. C'est lent. Qu'importe. Le temps n'existe plus. Il n'y a que la mort qui est une vĂ©ritable limite. Alors lenteur ou rapiditĂ©... cela n'a plus d'importance quand on se regarde d'un air muet, quand on se dĂ©visage et qu'on essaie de se comprendre sans mot. Parce que ni elle ni moi ne souhaite je dĂ©plie mes doigts. J'effleure la feuille sans jamais la lĂącher des yeux, la fille. Sans jamais lui donner la possibilitĂ© de doigts se saisissent de la feuille. A l'aveuglette. La retirer. De lĂ . Elle n'a rien Ă  la soulever, cette particule morte de l'arbre. Et la laisser retomber un peu plus loin. Par n'y aura plus rien entre toi et moi. Plus rien pour nous empĂȘcher de parler tant qu'on veut. Comme on interrogations. Je dois y rĂ©pondre. Et en mĂȘme temps, je ne peux regard se baisse, fixe ma main appuyĂ©e sur le banc. Il suit la ligne droite de la planche en bois, rencontre la jambe de l'autre. Grimpe sur son genou, remonte le long de sa cuisse, s'accroche au ventre, au bras, Ă  la poitrine. Revient sur le je que tu es comme moi. Toi aussi, tu as mal, n'est-ce pas ?Parce que tu es comme moi. Je ne suis plus seule. Toi non Tu te verras. Comme je me vois lorsque je te sourire est fugace. Rapide. je sais qu'elle l'a perçu. Qu'elle ne l'a pas sais qu'elle l'a vu. Ca me et moi, c'est pour les mĂȘmes raisons, sans c'est regard se voile d'une vague aussi, tu as Ă©tĂ© dĂ©truite ? Toi aussi, tu as dans ta poitrine cette souffrance qui te blesse, te dĂ©chire ? Et en mĂȘme temps te fait te sentir si vivante ?Toi aussi...Moi aussi, j'ai des questions Ă  te ce voile mĂ©lancolique qui masque pendant un instant la profondeur de mes pupilles te montre Ă  quel point cette lame invisible est enfoncĂ©e en je crois que toi aussi, t'es comme de tout. Loin du monde. C'est pour ça que tu m'as dans ce monde que nous avons quittĂ©, un chien court. Il est jeune, il est fougueux. DerriĂšre lui, sa maĂźtresse, vieille dame Ă  la voix aiguĂ«, habillĂ©e trĂšs bourgeoise façon reine d'Angleterre, crie son nom. Minaude son nom. Pas d'autoritĂ© ; elle rigole tandis que son clebs va de gens en gens, menace de bouffer tout cru les gamins mais ça, tout le monde s'en fout, personne ne s'en rend compte. Et le chien court, aboie, joyeux parce que sa maĂźtresse rit aussi. Et le chien fonce sur nous, fonce vers nous. S'arrĂȘte. Parce que nous ne sommes pas lĂ . Lui, il le sent. Nous sommes n'aura pas notre sommes juste deux. A voler dans le se des gosses, loin des parents, loin du Ă  se poser des questions. Et voir que, toi et moi, moi et toi, elle et elle, tout est sommes pareil. GaĂ«lle PanyellaSerdaigle Re Parc de Godric's HollowGaĂ«lle Panyella, le Mer 17 AoĂ» - 2006 Elle a acceptĂ© mon offre silencieuse et muette. MalgrĂ© sa mine dĂ©confite. MalgrĂ© cette dĂ©tresse qui Ă©mane d'elle. Son vĂ©cu m'est inconnu. Ses blessures ne sont pas miennes. Pourtant, je me sens impliquĂ©e. Je me retrouve en elle. La bataille qui fait rage dans mon cƓur. Dans ma tĂȘte. Mon corps tout entier en souffre. Cette recherche de comprĂ©hension de soi fait mal. Je ne sais pas ce que je vais dĂ©couvrir. Je ne sais pas Ă  quoi elle peut m'amener. La folie ? Saurais-je de nouveau me contrĂŽler ? Le mutisme Ă©ternel ? Saurais-je le tenir ? Que peut-il m'arriver ? Pour le moment, je remonte la pente, une pente dure et rude. La rechute peut pourtant ĂȘtre fatale. Moi qui venais dĂ©jĂ  de loin, j'ai Ă©tĂ© renvoyĂ©e plus bas. Ma faiblesse n'est pas commune. Si je craque, une autre personne sortira de mes entrailles. Nul ne sait si elle pourra se taire. MalgrĂ© mon regard perdu dans le vide, je la vois fermer les yeux. Je pense pendant un moment qu'elle ne fait que cligner, que l’atmosphĂšre qui Ă©mane autour de nous rend le monde plus lent. Sauf que ce n'est pas le cas. Tout va toujours aussi vite. Comme ça l'a toujours Ă©tĂ©. Tu n'as pas le temps de dire ouf que la vieillesse t'emporte. La vie dĂ©filant devant tes yeux ne se termine jamais car la mort t'emporte bien avant. Je me demande parfois si ce n'est pas possible de ralentir un peu la cadence. A quelques exceptions prĂšs, comme pour les yeux clos. Dans un tel Ă©tat, on se rappelle, on se remĂ©more. Et on se souvient de pourquoi ça ne va pas. C'est bien ça, le pire. Le souvenir est autant un alliĂ© prĂ©cieux qu'un ennemi dangereux. Il faut savoir le contrĂŽler. Encore un problĂšme. Le plus difficile n'est autre que ce iris toujours dans un pays lointain, je remarque que ses paupiĂšres s'ouvrent. Enfin. Ce moment sans regards, cet instant de silence d'Ăąme a Ă©tĂ© pesant. Long. Aussi lourd que la chaleur du dĂ©sert lorsqu'il n'y a que le sable Ă  perte de vue. Oui, elle. Je la sens. Ces rayons qui chauffent mes bras. Ce sentiment d'ĂȘtre emprisonnĂ©e, Ă©touffĂ©e. Je n'ai pas d'autre issue que de marcher, de courir. De chercher de l'eau. Des traces de vies. Le paysage enfantin du parc se transforme, se mĂ©tamorphose. Je suis comme collĂ©e sur ce banc. Je ne peux plus bouger. La panique vient se coller sur mon visage. Pas moyens de fuir. De partir. Loin de cette sĂ©cheresse, dĂ©nuĂ©e de tendresse. Ma tĂȘte commence Ă  tourner. J'ai envie de crier. La bouche ouverte, Une feuille. LA feuille. Le barrage. Qui vole en Ă©clats. Qui part vers d'autres lieux. La porte pour fuir est ouverte. Le tracĂ© qu'a laissĂ©e cette particule morte est comme en Ă©vidence. Je remonte Ă  sa source. Aucun banc. Toujours le dĂ©sert. Et des yeux. Qui s'accrochent aux miens. Pourquoi ces organes sont-ils si importants aujourd'hui. " Parce-qu'ils sont ton essence. Ta façon de communiquer. Avec. L'autre. " En effet. C'est vrai. Ils s'accordent. Je m'y vois. Et elle le sait. Elle le sent. Elle s'interroge. Elle me comprend. J'ai envie de lui crier ce qui ne va pas. De lui dire tous mes problĂšmes. Je me tais. C'est un pacte muet. Il ne faut pas l' Simple. Rapide. Qui en plus de me dire que je ne suis pas seule, me libĂšre des dunes. Son visage me rĂ©apparaĂźt. Godric's Hollow renaĂźt de ses cendres pour moi. PhĂ©nix. Commençant par le visage de la jeune femme, terminant sur un chien. Jeune fougueux. Promener par une dame austĂšre. Bourge Ă©tant le mot appropriĂ©. Criant aprĂšs lui comme une mĂšre aprĂšs un fils inconscient. Il s'approche, court vers nous. Il ne voit rien. A peu de chose prĂšs, il venait pour faire ses besoins. Poursuit son chemin. Sa vie de chien. Monotone. Loin d'ĂȘtre la enfin optimal Ă  la rĂ©alitĂ©. Fatigante. Je ressens un besoin. De soutient. Qui peut bien m'en donner ? Hormis la fille d'Ă  cĂŽtĂ© ? J'intensifie mon regard et continue de poser des questions. IncomprĂ©hensibles pour les autres. Sauf que le lien hors du commun qui nous unit fait qu'elle les comprend. C'est un peu comme. Comme si je lui chuchote Ă  l'oreille dans un murmure. Je suis en train de me raccrocher Ă  toi. A ton regard. J'en ai besoin. C'est comme ça. MalgrĂ© mon incomprĂ©hension. J'ai envie de t'approcher. L'Ă©cart entre nous est trop grand. Ça ne te dĂ©range pas ? Je n'attends rien de toute façon. Pas de rĂ©ponses. J' m'avance. Un peu. Je romps une partie du fossĂ©. Je dĂ©pose ma main encore un peu plus loin. A ton tour. A toi de t'approcher vers moi. Je suis un aimant aprĂšs tout. Il ne me reste plus qu'Ă  attendre. Comme l'oisillon lĂ , un peu plus haut. Dans un nid bancal. Qui cherche sa maman. Une mĂšre et son enfant. Nostalgie. Il veut manger il a faim. Il rĂąle. SacrĂ©e canaille. Mais regarde un peu. La voilĂ . T'en as de la chance toi. Kohane W. UnderlindenMDJ-GestionnaireHarryPotter2005 Re Parc de Godric's HollowKohane W. Underlinden, le Sam 27 AoĂ» - 2314 L'instant semble que l'Ă©ternitĂ© pouvait ĂȘtre si belle, en mĂȘme temps. Car rien n'est plus beau que cette comprĂ©hension muette. Ces Ăąmes qui peuvent se passer de mot pour s'accorder. Communiquer. Battre au mĂȘme rythme, marcher sur le mĂȘme plan, naviguer sur la mĂȘme mer. Lieu oĂč nous ne sommes que deux. Les autres sont loin. Si loin. Ils ne nous atteindront en sont sommes dans cet endroit dont nous sommes les seules Ă  possĂ©der la secret qui ne connaĂźt, ne reconnaĂźt que c'est magnifique. Magique. de -ique et non pas de hic. Car il n'y a aucun problĂšme dans tout cela. Seulement la nature. Qui a su assembler, rassembler, deux ĂȘtres, joindre deux Ăąmes identiques. Deux substances qui, Ă  prĂ©sent, savent comment entrer en contact sans desserrer les lĂšvres. Le code secret le plus infaillible. Personne ne parviendrait Ă  en percer le souffle devient plus saccadĂ© au fur et Ă  mesure que je regarde l'inconnue du se passe quelque chose. Entre elle. Et le c'est sur le point de prendre un nouveau le pupille porte mille questions. Mille oĂč commencer ?Je ne la lĂąche pas. Car j'ai l'impression qu'au moment prĂ©cis oĂč je la lĂącherai, oĂč mes yeux se baisseront pour la quitter, ne serait-ce qu'une demie seconde, elle partira. Elle basculera. Non pas parce qu'elle le veut. Mais parce qu'elle ne peut faire sais, je sens qu'elle s'accroche Ă  moi comme une naufragĂ©e s'accroche Ă  une Rose, dans ce film miĂšvre du siĂšcle dernier, Titanic, s'agrippe Ă  sa porte pour barboter dans l'eau glaciale du se tient Ă  moi. De ce fil, de cette main a tendu les doigts. Ils se sont refermĂ©s sur mon regard. Et elle s'y tient. Alors je ne la lĂącherai je n'ai pas pu me sauver. Je n'ai pas pu sauver Rachel, Leo et que sais-je encore. Ils ont tous plongĂ©s, plus ou moins profondĂ©ment. Je ne peux rien faire pour eux hormis tenter de les garder encore un peu hors de l'eau. Alors cette fille, lĂ , je me dis que je peux peut-ĂȘtre quelque chose pour tel est le cas,je le ferai,Ă  coup soudainement, ce fil invisible semble se ne se brise pas. Bien au n'en devient que plus brillant dans ce parc. Brillant mais seule moi le gosses, les parents, les vieux qui nourrissent les pigeons... personne ne le elle s' peu de vide fait que le vide, c'est une bulle. De protection. Et lĂ , la bulle a y a sa main, lĂ . Si proche. Mais pas encore sur moi. Elle va doucement. A pas de loup. continue de se raccrocher Ă  moi. Ce besoin de quelqu' quelqu' toi...?Regard. lis dans ses pupilles. Elle semble me dire veux partir. Vite. Parce que maintenant, elle fait peur. Trop de proximitĂ© pour moi qui veux garder mes la distance en s'abstenant de finalement, les gestes sont encore plus forts que les pupilles parlent et leur attraction est le sais, hein ?Tu le sais que je ne peux m'y empĂȘcher alors que j'aimerais quitter ce banc, oui, mais pour aller oĂč ?Retourner lĂ -bas, dans le monde, leur monde, Ă  tous. Les conventions, les beaux sourires, les c'est les autant rester elle et moi. Rester le mot autre n'existe pas. Car je suis elle, elle est et moi, nous ne sommes qu'une. A parler par le mĂȘme regard, exprimer les mĂȘmes envies, projeter le mĂȘme dĂ©sarroi au des autres pour rester avec un projet !Viens. la fixe. Sans bouger. Elle attend. Il n'y aura pas de mouvement. Pas si je n'en esquisse pas suffit d'un geste. Petit. Ă  mon tour le vide. Le reste de vide. Pour lui dire je suis ne rĂ©flĂ©chis quelques millimĂštres sont comblĂ©s par mon peu. Et beaucoup Ă  la fois. J'ai l'impression d'ĂȘtre collĂ©e Ă  la fille. CollĂ©e Ă  sa prĂ©sence. Totalement shootĂ©e Ă  son regard pĂ©nĂ©trant. Je ne peux plus m'en se raccroche Ă  moi. Je me raccroche Ă  je sais que bientĂŽt, le fil qui nous relie sera encore plus solide. Encore plus y main s'est lancĂ©e. Toute la la dĂ©but, c'est juste effleurer la sentir. Furtivement. Comme la caresse d'une bref, c'est rapide. puis l'envie, l'attirance. Aimant Ă  aimant. Plus par moins. Le cĂŽtĂ© pile et le cĂŽtĂ© besoin de quelqu' pas des autres. Parce que, tu te souviens ? L'enfer, c'est les besoin de quelqu' soit es suis besoin de toi. De cette fois, je pose ma main sur la ne s'agit plus de l'effleurer. Mais de la sentir, dans ma paume. Peau contre te sens, je me yeux ne te quittent pas. Je ne veux pas te lĂącher. Parce que le contact est dĂ©sormais Ă  double mes doigts se crispent. Pour encore moins te laisser te que tu que je sache que tu ne feras rien. Tu as besoin de moi comme j'ai besoin de toi. On a besoin l'une de l'autre. MĂȘme si je ne sais comment tu t'appelles, tu ne sais comment je me ça, ce ne sont que des dĂ©tails dans notre monde Ă©loignĂ©, ce genre de chose importe sait qui on est, l'une l' Ăąmes le savent et pas grave si on ne peut y coller une Ă©tiquette. Un nom. Un mot. Un Il y a cette reconnaissance mutuelle. C'est ça qu'il ça qui est un hochement de tĂȘte. TrĂšs lĂ©ger. TrĂšs est infime. De sorte qu'on soit les seules Ă  se voir, se comprendre, s' De tĂȘte. Je lui dis oui. Oui, je suis lĂ . Je serai lĂ . T'en fais pas. Je te tiens la main, ne veux plus la qu'elle est devenue ma le est bien, comme pas se d'Ă  priori. Pas de se dĂ©visager. Point se tenir. L'une Ă  l'autre. Pour ne me rapproche encore un peu sans jamais la lĂącher. Ni des yeux, ni du contact lĂ , la question sort du remonte, parcourt les artĂšres, le veines. Tourbillonne tandis que le regard s'illumine de cette nouvelle seule peut vent se est est s'engouffre dans les cheveux. Dans les vĂȘtements. Entre les pores de la peau. La jointure des tourne, nous gosses rient de cet air qui pourrait presque les faire parents rattrapent les emballages goĂ»ter, les journaux, les papiers qui s'en vont avec. Petites exclamations. Ouh lĂ , quel vent !Inutile. Pourquoi le dire ? Tout le monde le nous, dans notre monde. Pas souffle se heurte contre nous, s'introduit en je ne la lĂąche ma question... Et ma question se fait venir s'Ă©craser en plein devant elle. La la voie, qu'elle la lise, qu'elle la comprenne. toi, c'est quoi ton problĂšme ? GaĂ«lle PanyellaSerdaigle Re Parc de Godric's HollowGaĂ«lle Panyella, le Lun 26 Sep - 924 HRPG DĂ©solĂ© pour le retard et pour ce rp pas terrible La mĂšre nourrit l'oisillon. Que j'observe du coin de l’Ɠil. Parce que mon regard reste en contact avec E. Inconnue si lointaine et pourtant si proche. Le petit bĂ©bĂ© semble content. Je pourrais l'envier, mais c'est sa mĂšre qui est l'objet de ma jalousie. Elle est venue prĂšs de lui. De son propre chef. S'est approchĂ©e, le nourrit. Chaque jour elle l'approche. Le moineau n'a pas Ă  la chercher nuit et jour pour avoir un ou deux vers de terre. Elle vient puis repars. Mais ce qui compte, c'est qu'elle est que moi, depuis toujours, je joue le rĂŽle de l'enfant qui attend patiemment sa mĂšre. Je ne m'approche pas des autres. Je ne les aborde pas. J'attends qu'ils viennent. Et parfois ça prend du temps. Je reste donc seule dans une bulle qui jamais ne se perce. Quand quelqu'un se dĂ©cide Ă  venir voir le petit aiglon timide, le rond de savon Ă©clate. ÉnervĂ©e d'ĂȘtre ennuyĂ©e, je gĂąche tout. Je grogne. Je regrette. Cercle sans fin. Youhou. Apprendre Ă  faire le premier main est une avancĂ©e. Un petit pas que les autres ne voient pas. Nous sommes toujours invisibles. Seuls nos vĂȘtements, peut-ĂȘtre de couleurs vives sont aperçus par l'extĂ©rieur.. Il faut des outils de scientifiques pour apercevoir la tristesse d'un regard. Un amplificateur de sons pour comprendre les battements saccadĂ©s de nos cƓurs. Des choses d'autant plus avancĂ©es pour entendre nos pensĂ©es. Approche. Aide moi. Nous sommes liĂ©es. Par un fil. Tu le peur d'approcher. J'ai fait un effort, Ă  toi. Combats tes peurs. Tu peux le faire. Il y a le connu. Il y a l'inconnu. Un contact est une nouvelle chose. Allez. VoilĂ . Regards dans regards. Êtres qui se comprennent. Mains posĂ©es. Un frisson me transperce lorsque le contact Ă©tabli. A moi de la craindre. Je suis acceptĂ©e. Tu es acceptĂ©e. Nous sommes ensemble. Souffle. Une corde Ă©paisse. TrĂšs vite, le simple frĂŽlement passe en ma main dans la sienne. Elle semble en dĂ©tresse. Elle l'est. Sa poigne se serre. Je la lui rends. Je ne te laisserais pas tomber au fond du gouffre. hoches la la me soutiens. Je te soutiens. Tu t'approches un peu comble le vide qui une place pour nos es lĂ  pour quelqu' simple que ça puisse paraĂźtre, le vent se lĂšve. S'Ă©tire. Il vole. Forme des tourbillons de feuilles. Les enfants tournent dans cette tornade tournante. Je me souviens. J'aimais tourner dans le vent. Lorsqu'il s'engouffre dans mes cheveux. Qu'ils s'envolent dans l'air. Dans l'air du vent. Qu'il frĂŽle ma nuque. Qu'il s'engouffre dans mes vĂȘtements. Qu'il caresse ma peau. Que j'aime ça. En fait, je ne savais plus ce que c'Ă©tait. De tourner dans le vent. J'envie un instant les pendant un instant un murmure. Silencieux et interrogateur. Elle veut savoir. Je le lui doit bien... J'exerce une pression sur ses doigts, alors que mes yeux s'embuent. Je n'ai pas une histoire extraordinaire. Il y a bien pire. Et pourtant, ça me rend. soir d'Ă©tĂ©, elle est venue me torturer. L'alcool l'embaumait toute entiĂšre. Saoule, elle s'est mise Ă  jouer. Avec mon esprit. Prise par la fatigue, ses mots sonnaient comme une rĂ©alitĂ©. J'ai grattĂ© ma peau jusqu'au sang. J'ai tentĂ© le courage. J'ai rĂ©alisĂ© que mĂȘme ma propre tĂȘte en avait marre de moi. Depuis, j'ai envie... De quoi ai-je envie ? De quoi. De mort ? De fugue ? De folie ?Je serre. Encore. J'ai peur de lui faire du mal. Je tremble. Je ne lĂąche pas ses yeux. Je suis au bord du gouffre. Je vais bientĂŽt craquer. Tu le sais. Finissons l'histoire. LibĂšre-moi ; le matin, je me suis rĂ©veillĂ©e. Elle n'Ă©tait plus lĂ . RĂȘve ? RĂ©alitĂ© ? La deuxiĂšme proposition. Serpent de sorciĂšre. Je ne savais mĂȘme plus faire la diffĂ©rence entre l'imagination et... Le reste. Plus de frontiĂšres. Dans son iris, je remarque le ciel qui s'assombrit. Les nuages passent dans un temps record du gris au noir. Il fait sombre. Je ne la quitte pas du regard. Je commence pourtant Ă  avoir peur. Au loin, le tonnerre gronde. Des Ă©clats de lumiĂšre m'aveuglent. Je ne t'abandonnerais pas... La pluie s'Ă©crase sur mes cheveux. Le volume qu'ils avaient obtenu par le vent se perd. L'eau les aplatis. Des gouttes tombent dans mon dos. Des gouttes s'Ă©crasent sur mes je ne sais pas si c'est la mĂ©tĂ©o orageuse ou la tristesse tĂ©nĂ©breuse qui est la cause de cette humiditĂ© sur mon visage. Kohane W. UnderlindenMDJ-GestionnaireHarryPotter2005 Re Parc de Godric's HollowKohane W. Underlinden, le Sam 29 Oct - 1217 Sorry I'm so laaaate ! Il y avait le il y a est venue. Poser son corps. Son Ăąme. Son esprit. LĂ  oĂč il n'y avait plus est le sa seule prĂ©sence douloureuse. Un corps qui fait mal. Une Ăąme pourtant, elle est lĂ . Comme je suis lĂ . Moi aussi. Sa main sur la main dans la vie imbriquĂ©e Ă  la temps d'un un de filles qui volent, haut, lĂ -haut. leur souffrance. Son iris me paraĂźt briller. D'un Ă©clat terne. Mais beau. comprend. Tu es lĂ  pour suis lĂ  pour mains mĂȘlĂ©es, signe de cette m'empĂȘches de te rattrape quand tu regards croisĂ©s, pour se soutenir l'une l' le silence, magnifique silence, comme unique lien. Ma question s'est envolĂ©e avec le a voguĂ©. Jusqu'Ă  elle. Jusqu'Ă  s'agripper Ă  sa peau. Ses cheveux. Entrer dans son question est nous. Elle n'attend qu'une seule rĂ©ponse. Mon regard se baisse un paupiĂšres s'affaissent. Sur les deux mains de remonter le long du bras. Et capter de regard de l' mots silencieux qui traversent la bouche coeur qui s'ouvre peu Ă  peu. Sur tout. La destruction. L'assassinat d'une ancienne Ă©poque plus lumineuse. Joyeuse. Je sens ses images. Ses les sens parce que j'ai la reflet dans un miroir est mon coeur qui palpite est le mon organe vital est le notre douleur ne fait plus qu'une. PartagĂ©e. Les larmes amĂšres pourraient se faire plus qu'un seul ruisseau seule riviĂšre de lames tranchantes. De larmes Ăąmes pourraient s'allier en ce Noir nos esprit ne devenir qu' supporte tout un lourd fardeau. Son parle d'incomprĂ©hension. Perdition. sait plus ce qui a Ă©tĂ© ou n'a pas sait plus ce qu'elle veut faire. Ne pas aller. Vers quoi. Pour quoi. Pour sa main sur la main, Ă  serrer la mienne jusqu'Ă  en devenir blanche. corps. Qui craque et craquĂšlent sous tant de j'aimerais pouvoir arrĂȘter. ne peux je sens que moi aussi. Ca frĂ©mit. A l' coeur tressaute. le corps ressent un frisson face au masque de souffrance qu'est ce reflet de voir ainsi, se voir en face...Ca fait encore plus mal. Et pourtant, on a besoin de se comprendre. Ton histoire m'aidera peut-ĂȘtre Ă  pourquoi moi aussi j'ai si le monde tourne dans tous les sens et non plus tout la folie, la banalitĂ© dĂ©sormais ?Sont-ce les gens innocents et sains d'esprit qu'on enferme dans les asiles ?Sont-ce les fous qui bĂ©nĂ©ficient de tous les droits d'arpenter ce monde et de frapper, frapper, tuer ? Les lĂšvres se serrent un peu souhaite garder un silence encore plus profond. Tandis que la main ne me lĂąche plus. Et que son corps, son Ăąme, tout plonge mon regard dans le noie dans ses toujours serrĂ©es. Ne craque craque suis tombe fais me sens ?Je suis lĂ . Je m'approche un peu ĂȘtre presque collĂ©e Ă  sente que je suis elle. Avec qu'elle me rend la pareille. Par sa simple main posĂ©e sous la mienne. CramponnĂ©e Ă  moi. Ne lĂąche lĂąche est restera ensemble. Et soudain, tout devient encore plus le vois sur son teint s'est nuages menaçants au-dessus de nos grondent, grondent leur fureur. Leur incessante loin, les cris, les rires des enfants qui sentent l'orage arriver Ă  grands parents qui veulent rentrer avant de se prendre l' bouge autour de nous. Tout s'active. Sans nous, nous ne bougeons pas. Sur le banc. dans sur est lĂ . Alors que le monde tourne. Et qu'on reste statiques. Les voix, les cris deviennent encore plus lointains tandis que les premiĂšres gouttes ciel se dĂ©verse. Sur sens l' s'abat. Sur le crĂąne. Les cheveux. Les Ă©paules. Trempe les vĂȘtements et dĂ©gouline sur le peut-ĂȘtre est-ce de l'eau salĂ©e, qui coulent le long des joues ?Je ne sais pas. Je ne sais coule. C'est elle. Chez moi. Tandis qu'on se coeur se dĂ©verse aussi. Toute la tristesse et l'amertume. La rancoeur et la main sur la sienne se crispe elle veux lui dire de tenir la pluie gouttes sont grosses. Et s'Ă©crasent en de gros bruits. Remplissent le flaques. Nourrissent l'herbe et les fleurs. Mouillent les personne nous. dans notre dans ce ; plus personne autour. J'ai mal. Moi je dĂ©tache mon regard du sien. Et lĂšve la les nuages noirs. Noirs de les regarde. Observe les gouttes s'Ă©craser sur moi. Et mes larmes se mĂȘler Ă  j'en suis sĂ»res. Elles coulent. RiviĂšre salĂ©e. AmĂšre. Ca fait longtemps. Si longtemps que mes yeux son restĂ©s secs. A hurler, crier, se dĂ©mener. Mais jamais lĂ ... ça coule tout seul. En harmonie avec elle. Sa prĂ©sence. Qui me dit qu'elle est lĂ  pour suis lĂ  pour elle. Mon visage se baisse de nouveau. Pour aller reprendre contact avec mes pupilles dans les dans son lui parler, Ă  mon tour. En travers les lĂšvres fermĂ©es. Cousues par trop d'horreur. Par trop de par la rage et la tristesse. Les larmes cinglantes, les larmes sanglantes. Tu sais, j'aime pas l'eau. Non, j'aime pas l' j' je n'aime prĂ©fĂšre le feu qui brĂ»le, donne du courage et de la flamme qui permet de tout ça Ă©teint cette surtout, surtout, l'eau, c'est les mauvais souvenir. Tu veux que je te raconte moi aussi ? Elle a parlĂ© pour offert ses images et ses mon tour, de parler pour elle. Seulement pour sera-t-elle la seule a savoir. Vraiment en connaissent des bouts. Jamais elle...Par ce silence qui nous unit...Elle peut savoir. Un soir. Il neigeait. Et tu sais, la neige. C'est de l'eau, en fait. Quand ça fond, c'est de l'eau. Ce soir, il neigeait. J'aimais la neige. tellement beau !Je croyais que ce soir, j'allais encore plus l'aimer. Parce que j'allais le que j'aimais tellement. Lui pour qui mon coeur Simplement me pas crissaient joyeusement sous la neige. Et j'Ă©tais heureuse. Mais tu vois, rien ne s'est passĂ© comme prĂ©vu. Le blanc de la neige est devenu rouge de vu le corps de la femme gorge s'est vidĂ©e de son sang devant moi. Sous mes Lui... Lui Ă©tait lĂ . Sans bouger. Baguette Ă  la main. AprĂšs avoir incisĂ© sa jugulaire. AprĂšs l'avoir laissĂ©e femme. larmes se sont font plus amĂšres alors que mes yeux pluie, je ne la sens mĂȘme sens juste sa prĂ©sence sa main. CramponnĂ©e. Et ça, ce n'est qu'une partie de mon n'est que l'aboutissement de plusieurs autres ne sais pas si je suis tout simplement malheureuse Ă  en veux monde. Ce univers m'a tout pas juste. A peine dix-sept j'ai l'impression d'avoir tout vĂ©cu. fait trop mal. Doucement, je retire ma main de la sienne. Sans jamais la quitter des tends mes vĂȘtement trempĂ© par la tends mes je l' serre contre rassurante. Je suis es lĂ . La pluie tombe pluie larmes ne sur un banc, deux Ăąmes imbriquĂ©es l'une dans l' tonne au Ă©clairs dĂ©chirent parfois le voile les vois Ă  plane. Dans ce plan un dans le sur l'amĂšre mer des larmes. GaĂ«lle PanyellaSerdaigle Re Parc de Godric's HollowGaĂ«lle Panyella, le Jeu 3 Nov - 2250 Musique Ce sont les deux causes. Mes larmes salĂ©es se mĂ©langent Ă  la pluie. Je suis trempĂ©e. MouillĂ©es de l’extĂ©rieur en premier. Parce que la nature l'a dĂ©cidĂ©. Je ne peux que respecter son choix. C'est une dĂ©esse celle-lĂ . Il n'y a pas moyen de l'arrĂȘter. Quoi qu'il arrive, elle dĂ©cidera son destin. Ça a toujours Ă©tĂ© ainsi. Depuis la nuit des temps. Je ne pourrais jamais la stopper. Alors j'accepte cette eau qui me transperce. TrempĂ©e de l'intĂ©rieur en deuxiĂšme. Mon cƓur, mes tripes... Nous pleurons ensemble. Mes yeux, mes mains, ma poitrine. Nous pleurons. Ensemble. Et toi, toi qui m'aides, qui me serres la main. Pleures avec nous. Dans un dernier soupire. Nous sommes liĂ©es Ă  que je lui livre mon histoire, elle semble dĂ©stabilisĂ©e. Je sens, je sens qu'elle a besoin de se vider ; Dans mes problĂšmes. Elle se voit. Se voit en moi. Si je suis son reflet, si je suis ton reflet, tu es le mien. Dans un miroir brisĂ©, oĂč les deux silhouettes peuvent s'enlacer. Il suffit de regarder nos mains. Signe d'une union indescriptible. Une union que seules deux personnes peuvent comprendre. Nous en sommes les maĂźtres. Il n'y a pas de barriĂšres. Que dire, que penser de plus. J'ai mes Ă©motions qui explosent, et sous ces premiĂšres gouttes, la fille meurtrie se rapproche. Seuls quelques millimĂštres nous sĂ©parent. Petits, essentiels. Pour le moment. Yeux sur nos mains, regards dans regards. FrĂ©missements, colĂšre ? Tout ce qui se passe, c'est si... Si fort. Je sais que nous devons tenir bon. Je sais que nous ne devons pas craquer. Mais c'est difficile. N'est-ce pas ? Pourquoi la lutte demande-t-elle tant d'Ă©nergie alors qu'abandonner est si facile ? Connais-tu la rĂ©ponse Ă  cette affreuse question ? J'ai beau rĂ©flĂ©chir, je ne la connais pas. et j'ai cherchĂ©, encore et encore, de nombreuses rĂ©ponses. La plus importante n'est jamais venue Ă  moi. Plus que cruelle, cette rĂ©alitĂ© m'afflige, t'afflige. Tu m'as permis de ne rien lĂącher. Pour le comment faire quand tu ne seras plus lĂ  ?Le ciel se fait de plus en plus noir. De plus en plus sombre. Il nous soutient. Il se bat Ă  nos cĂŽtĂ©s. Et ses cris se font de plus en plus rageurs. Le tonnerre rugit. Tout comme nous, il a Ă©tĂ© meurtri. CohĂ©sion avec la nature. Il n'y a plus que toi et moi, nous sommes trois. Puis, je sens que ta main se crispe elle aussi. Tu me racontes ? Vas-y, je t'Ă©coute. J'Ă©couterais toujours tes maux. Nous Ă©couterons. Les frĂ©missements de feuilles, ces petites tornades, cet ouragan qui se dĂ©chaĂźne sous nos yeux, sur notre tĂȘte, dans notre ĂȘtre. Tout ça, tout ça t'Ă©coute. Nous tendons l'oreille. Tu n'es pas seule. HĂ©siter, tu peux. Je ne te jugerais pas. MĂȘme si tu romps le contact visuel quelques instants. Je ne peux pas t'en vouloir. Ça m'est impossible. Tu regardes le ciel et ses gouttes tombantes ? Je fais de mĂȘme. Tu replonges tes yeux dans les miens ? Je fais pareil. Je remarque que tu n'aimes pas toute cette eau. Alors que c'est mon Ă©lĂ©ment, je commence Ă  le haĂŻr. Si tu ne l'aimes pas, je ne peux que le dĂ©tester. Si elle t'a fait du mal, c'est qu'elle n'est pas cette base de vie que j'adulais tant. On se fait tous trahir un jour...Ton histoire passe dans tes larmes, circule dans ton sang, me parvient par des chocs violents. Les images dĂ©ferlent en moi, floues et limpides. Contradictoires. Je ne peux voir par des images concrĂštes, certes. Pourtant, j'ai pu tout observer. La douleur qui est tienne devient mienne. J'ai peur. Peur de la mort. Peur de l'abandon. Peur de la solitude. Peur de la folie. Je te comprends. Comprends enlĂšve dĂ©licatement sa main de la mienne. Aussi doux qu'a Ă©tĂ© son geste, il me fait l'effet d'une gifle. Me trahis-tu ? Je ne pourrais pas le supporter. Si tu me plantes un couteau dans le dos, je me viderai de mon sang sur ce banc mĂȘme. Heureusement, loin de toi cette idĂ©e. Un dernier contact visuel, puis tu me prends dans tes bras. Moi, blottie contre une parfaite inconnue pas si inconnue que ça. Alors que l'Ă©treinte dure, je m'accroche Ă  ses vĂȘtements comme Ă  une bouĂ©e. Pour ne pas me noyer face Ă  cette pluie, cette tornade, ces nuages noirs, ces restons comme ça, un moment, si court et pourtant si long. Si long, et pourtant si court. Je me calme, peu Ă  peu, et dans ses bras, je m’apaise. BercĂ©e par les clapotis de la pluie, par la respiration de mon reflet brisĂ©. Mes paupiĂšres se ferment, pour se rouvrir, complĂštement sĂšches de larmes. Je me dĂ©fais un peu de son Ă©treinte pour regarder l'horizon, ce parc si joyeux jadis, complĂštement dĂ©serter d'enfants maintenant. La folie prend peu Ă  peu le dessus sur toutes mes Ă©motions. MalgrĂ© tout. Je fais ce que je peux pour la faire taire. Pour ne pas gĂącher ce moment. Je pose ma tĂȘte sur son Ă©paule. Reprends sa main, effleure pour une derniĂšre fois son regard et, dans un chuchotement qu'elle ne peut qu'entendre, je prononce le seul mot que mon reflet brisĂ© d'entendra jamais de ma part-Merci -FIN DU RP- Andrew EalesGryffondor Re Parc de Godric's HollowAndrew Eales, le Jeu 22 DĂ©c - 1335 -Tout est une question de point de vue - [PV avec Elenna Benson.]Deux hommes, des jets lumineux virevoltant tel un spectacle mortuaire, l'utilisation d'une dague, un seul survivant... voilĂ  le rĂ©sultat de cette soirĂ©e passĂ©e dans l'obscuritĂ© de cette nuit qui semblait paradoxalement ĂȘtre des plus calmes aux yeux de quiconque. La main vengeresse que j'incarnais maintenant depuis un certain temps avait une fois de plus frappĂ©e, Ă©liminant un nom de plus Ă  la liste des nuisibles de ce monde. Mais les noms Ă©taient encore nombreux, trop nombreux. D'autant plus que pour l'heure, je ne m'Ă©tais pas attaquer Ă  mes cibles principales Les Mangemorts. Je ne m'Ă©tais contenter que d'Ă©liminer de faibles larves, des personnes qui n'Ă©taient pas un vĂ©ritable dĂ©fi pour moi. Mais ce que je faisait n'Ă©tait pas inutile pour autant, bien au contraire, Ă©tant donnĂ© que je punissais ceux qui avaient eu l'audace de causer du mal par le passĂ©, Ă  une Ă©poque oĂč je n'Ă©tais encore qu'un enfant, ceux qui Ă©taient comme cet homme... Celui qui, en bel enfoirĂ© qu'il Ă©tait, avait prit la vie de mon pĂšre, de ma mĂšre, de mon frĂšre... celui qui fut ma premiĂšre victime et qui eu l'audace de me supplier de l'Ă©pargner... penser Ă  ce chien me donnait envie de vomir... Mes meurtres Ă©taient donc totalement justifiĂ© et ne me pesaient pas sur la conscience et quand bien mĂȘme cela venait Ă  ĂȘtre le cas, j'accepterais le prix. Car qui Ă  part moi se chargerait d'accomplir cette tĂąche qui Ă©tait nĂ©cessaire pour libĂ©rer notre monde de l'influence de ces ordures ? Personne. Raison pour laquelle j'Ă©tais partis dans ma croisade accompagnĂ© de plusieurs disciples, disciples qui j'attendais d'ailleurs patiemment dans ce parc de Godric's Hollow pour que je puisse donc installĂ© lĂ , sur un banc, du sang sur ma chemise et de l'alcool dans le mien, attendant l'arrivĂ© de l'une de mes disciples, ma fidĂšle HĂ©lina Ă  qui j'avais envoyĂ© un Patronus assez approximatif - au point oĂč je n'Ă©tais mĂȘme pas certain de bien avoir prononcĂ© le prĂ©nom de la destinatrice Ă  mon sortilĂšge - dĂ» Ă  mon Ă©tat d'ivresse pour lui indiquer oĂč je me trouvais et j'espĂ©rais qu'elle n'allait pas tarder Ă  arriver. D'un autre cĂŽtĂ©, cela me faisait penser que je devrais, un jour, peut-ĂȘtre, envisager le fait de passer mon permis de Transplanage afin d'ĂȘtre totalement indĂ©pendant, Ă©tant donnĂ© que le fait de devoir dĂ©pendre de quelqu'un d'autre - et surtout d'une disciple - Ă©tait un peu ridicule pour un homme de ma stature. Mais bon, pour le coup, j'avais l'excuse du fait d'avoir la tĂȘte en vrac Ă  cause de l'alcool, mĂȘme s'il persistait en moi assez de logique et de cohĂ©rence pour toujours ĂȘtre le maitre Ă  si pour certain, cela faisait bien longtemps que je n'Ă©tais plus maitre de quoi que ce soit, que j'avais sombrĂ© dans une profonde folie alors mĂȘme que je n'avais jamais vu aussi clair de toute ma vie. Tous devaient se faire au fait que le Damien Eales adorablement gentil, naĂŻf et mĂȘme stupide avait disparu pour de bon pour laisser place Ă  un homme affirmĂ© et luttant pour une vrai cause, utilisant le seul moyen efficace pour se dĂ©barrasser du mal ce qui, pour certains, donneraient l'impression que je suis exactement comme eux alors qu'ils se trompaient parfaitement. Moi, je ne faisait pas cela pour des raisons de pouvoirs ou peut-importe la connerie derriĂšre laquelle se cachaient ces enfoirĂ©s salissant l'art de la Magie Noire. Non. Moi, s’agissait de la sorte pour me dĂ©barrasser de la vermine, pour offrir un monde meilleur aux personnes qui me sont chĂšres, pour offrir un avenir digne de ce nom aux jeunes qui ne devront pas vivre dans le peur et Ă©galement pour empĂȘcher d'autres enfants d'ĂȘtre orphelin comme ce fut mon Ă  cotĂ© de ça, le reste n'Ă©tait qu'un dĂ©tail pour moi. On pourrait me juger comme Ă©tant exactement comme eux, me jeter Ă  Azkaban jusqu'Ă  la fin de mes jours ou mĂȘme m'abattre que ça me serait complĂštement Ă©gal du moment que ma tĂąche Ă©tait accomplie. Car mes disciples Ă©taient lĂ  pour ça, pour ĂȘtre suffisamment bien former pour m'Ă©pauler et surtout pour prendre ma place si jamais il m'arrivait quelque chose, mĂȘme si je ferais en sorte de survivre pour voir naitre mon monde idĂ©al. Enfin... pour l'heure, mon monde idĂ©al se trouvait dans un lit bien douillet et bien au chaud sous des draps. Ainsi espĂ©rais-je que l'on vienne rapidement me chercher, mĂȘme si en thĂ©orie, je ne devrais pas avoir Ă  attendre bien longtemps Ă  compter de maintenant...DAMIEN J. Elenna BensonPoufsouffle Re Parc de Godric's HollowElenna Benson, le Mar 10 Jan - 635 Rp privĂ© avec Damien J. Eales. En peu de temps parfois on fait bien du chemin...Les temps avaient bien changĂ©, mais depuis peu finalement. Aujourd’hui, la jeune femme aux cheveux de neige avait laissĂ© Ă  place Ă  quelqu’un d’autre, Ă  une femme plus forte, plus dure. Il m’arrivait de ne pas me reconnaĂźtre lorsque je me croisais dans un miroir. J’avais gardĂ© ma mine joyeuse, mon visage de poupĂ©e et mon sourire franc mais mes cheveux sombres rendaient mes traits plus cassants. Pourtant, lorsque je me perdais dans mes pensĂ©es, mes sourcils se fronçaient et mon front se plissait, me donnant un air sĂ©rieusement trop sĂ©rieux. Je n’étais plus la gamine rĂȘveuse que j’avais pu ĂȘtre. Moi qui avais toujours voulu faire le bien, Ă©voluais dans un monde oĂč la paix rĂ©gnait, je m’étais rendue compte quelques semaines auparavant que ma tĂąche Ă©tait bien vaine. Je ne pouvais pas y arriver, pas seule en tout cas. Alors j’essayais de limiter les dĂ©gĂąts, d’aider ceux qui en avaient besoin, de protĂ©ger ceux qui ne pouvaient le faire seuls, d’apprendre Ă  ceux qui souhaitaient rejoindre notre cause. J’étais entiĂšrement dĂ©vouĂ©e Ă  l’Ordre du PhĂ©nix, oubliĂ© le MinistĂšre de la Magie et ses rĂšgles qui mettaient plus souvent des bĂątons dans les roues que de l’huile dans le Ă©tait tard, bien trop tard pour sortir mais comme depuis plusieurs mois, le sommeil ne parvenait pas Ă  me prendre dans ses bras. Le voulais-je vraiment ? A chaque fois que je fermais les yeux, je revoyais ces mages noirs, je revoyais ces tortionnaires qui m’avaient fait souffrir plus qu’un corps ne pouvait le supporter, tout ça pour quelques noms. Quelques noms que j’avais donnĂ©. J’avais fini par cĂ©der. Je leur en voulais, Ă  eux plus qu’à quiconque, je voulais causer leur perte mais pas Ă  n’importe quel prix. Dans ma quĂȘte, j’avais des innocents Ă  protĂ©ger. Il Ă©tait hors de question d’avoir des dommages collatĂ©raux. L’Ordre du PhĂ©nix y veillait, les Mangemorts un peu moins. Pas du tout mĂȘme. Quand mes alliĂ©s Ă©taient venus me chercher, quand ils avaient enfin rĂ©ussi Ă  me retrouver, j’étais devenue une autre personne, j’étais devenue celle que je combattais avidement. J’avais cĂ©dĂ© Ă  la colĂšre, Ă  la rage et au dĂ©sespoir. J’avais laissĂ© la folie s’insinuer dans mon esprit. Heureusement, la vie avait fait que j’avais rĂ©ussi Ă  me sortir de lĂ , que mes amis avaient pu m’aider Ă  redevenir celle que j’avais longuement je ne souhaitais que le bien, Ă©trangĂšre Ă  la magie noire qui m’avait blessĂ©. Marchant dans les rues de Londres, accompagnĂ©e de prĂšs par Eden, je profitais du silence et du froid qui endormait mes rĂ©flexions. ArrĂȘterai-je un jour d’y penser ? Oublierai-je ces instants maudits en compagnie du mal incarnĂ© ? Les mains dans les poches de mon long manteau noir, un bonnet en laine blanche bien ancrĂ© sur ma tĂȘte, je me perdais une fois de plus dans mes pensĂ©es jusqu’au moment oĂč je gagnais une petite ruelle dĂ©serte. Avançant vers moi, une douce lumiĂšre argentĂ©e flottait dans l’obscuritĂ©, un petit renard blanc qui apportait un prĂ©cieux message. Il n’y avait aucun nom, juste un message. Godric’s Hollow et une demande d’aide ? Encore un piĂšge ? Est-ce que les mages noirs avaient dĂ©couvert mon identitĂ© et comptaient bien m’en faire part dans un petit village perdu dans l’ouest de l’Angleterre ? Je mis quelques secondes Ă  me dĂ©cider et dans un souffle sonore pour marquer mon agacement je transplanais, baguette en main, la main posĂ©e sur mon chien pour qu'il suive le trajet, il commençait Ă  ĂȘtre n’étais pas si bĂȘte que certains semblaient le penser, je n’avais pas atterri directement dans le parc indiquĂ© par le patronus, histoire de ne pas me faire surprendre. Baguette en main, tous les sens aux aguets, j’avançais Ă  pas de loup vers le jardin pour essayer d’apercevoir la personne qui m’avait contactĂ©. Bien vite, une silhouette se dessina sur l’un des blancs entre deux buissons. L’homme Ă©tait assis, une chemise blanche pleine de sang sur lui, attendant patiemment son convoi privĂ©. C’était qui lui ? Et c’était quoi ce b*rdel ? Sans plus attendre, je glissais ma baguette dans ma poche, ma main toujours bien serrĂ©e autour d’elle et m’avançais vers le gars. J’entrais doucement dans la lumiĂšre des lampadaires, me penchant pour essayer de deviner les traits du sorcier qui fixait le sol. Un souvenir du MinistĂšre vint de suite tinter dans mon cerveau, je le connaissais, j’avais travaillĂ© avec lui." Damien ?... C’est toi ? Est-ce que tout va bien ? J’ai reçu ton patronus mais je n’ai pas tout compris
 "J’avais changĂ©, mes cheveux n’étant plus d’un blanc immaculĂ© mais chĂątains comme ils l’étaient depuis ma naissance. Les sourcils froncĂ©s, le regard inquiet, j’approchais de lui, l’air un peu mĂ©fiante tout-de-mĂȘme. Eden, lui, suivait Ă  petit trot, restant collĂ© Ă  ma jambe comme le bon petit-gros chien qu'il Ă©tait... Amy ShieldsAuror en formation Re Parc de Godric's HollowAmy Shields, le Sam 18 FĂ©v - 1931 Post UniqueLe rp se dĂ©roule le 14 fĂ©vrierDeuxiĂšme Ă©tape. La premiĂšre c'Ă©tait pas mal dĂ©roulĂ©e. Il fallait juste espĂ©rer que ça allait ĂȘtre pareil ici. Nouveau Plop. Les pieds qui heurtent le sol. Sol plus ou moins mou. Sol herbeux. Ce mot existe ? Certainement. Par rĂ©flexe, Joy se mouva jusqu'Ă  un arbre pour essayer de ne pas ĂȘtre vue. C'Ă©tait vide. Personne dans son champ de vision. Tant mieux. Seul les feuilles venaient briser le silence sous l'air du vent. Il ne fallait pas attendre. L'heure fatidique arrivait. Et si elle manquait le signal, elle serait seule face aux problĂšmes qui allaient lui tomber dessus. Alors il fallait faire vite. Nouvelle fusĂ©e sortie du sac. Positionnement droit par terre en plein milieu de l'herbe. Etre sortie de sa cachette Ă©tait risquĂ© mais si elle laissait la fusĂ©e sous l'arbre, elle ferait plus de mal que de bien. Alors autant se mettre en danger pour le bien de la minutes avant le lancement. Joy qui se dĂ©peche et qui se dĂ©bat avec ce qui lui reste de patience. L'envie de montrer au monde qu'ils sont lĂ . On sort la baguette. Regard Ă  droite puis Ă  gauche. Surveillance maximal en attendant. Si quelqu'un arrivait maintenant c'Ă©tait fichu. Comment rĂ©agirait-elle ? Aucune idĂ©e. Elle n'allait clairement pas le blesser donc elle fuirait certainement. VoilĂ  pourquoi elle mit le retardateur au cas C'Ă©tait le moment. La mĂšche s'allume. Joy s'Ă©carte pour ne pas ĂȘtre blessĂ©e. Ce serait tellement bĂȘte. Sifflement ĂŽ combien jouissif. La fusĂ©e qui monte, qui s'envole. Qui va bientĂŽt exploser. Qui explose. Et lĂ  le spectacle se passe, devant les yeux blancs vitreux de la PhĂ©nix. C'Ă©tait beau. Elle Ă©tait heureuse. Mais elle ne pouvait tarder. Une fois le spectacle fini, elle transplana dans un nouveau bruit sourd. Atterrissage dans les rues de Londres. Rentrer Ă  l'appartement et se changer, vite. Missions rĂ©ussies. InvitĂ© Re Parc de Godric's HollowInvitĂ©, le Sam 8 Avr - 2356 LA d'Evan accordĂ© - il a le mien pour la durĂ©e de ce RP Mal Ă  l’aise avec la mĂ©tamorphose alors que cela avait Ă©tĂ© sa matiĂšre de prĂ©dilection lors de ses Ă©tudes Ă  Poudlard. Incapable d’une quelconque transformation en animal. VoilĂ  Ă  quel point elle en Ă©tait rendue, quelque peu dĂ©sespĂ©rĂ©e de ne pas atteindre SA perfection. Elle idolĂątrait cette idĂ©e de pouvoir se mouvoir, Ă  peine perceptible, en animal. NĂ©anmoins elle n’avait jusque-lĂ  jamais puis un jour, l’idĂ©e saugrenue d’appeler Ă  l’aide l’avait pris. Puisqu’elle n’y arrivait pas seule elle devait – en plus de s’armer de patience – faire appel Ă  quelqu’un connaissant la mĂ©tamorphose sur le bout des doigts. Et Elly savait exactement Ă  qui s’adresser. Elle avait encore en mĂ©moire de vagues souvenirs de cours avec un professeur de mĂ©ta particuliĂšrement attentif aux besoins de ses ce qui avait le plus marquĂ© Elly restait bien Ă©videment le vol somptueux qu’il lui avait offert Ă  dos de Sombral. Vol majestueux et quelque peu troublant. A l’époque elle ne voyait pas ces crĂ©atures fantastiques et avait particuliĂšrement apprĂ©ciĂ© que le professeur sorte de sa caste sociale afin d’offrir ce moment de pur bonheur Ă  l’élĂšve qu’Elly Ă©tait alors. Il lui avait Ă©galement donnĂ© l’envie de persĂ©vĂ©rer dans les Ă©tudes afin de devenir Auror, et elle avait rĂ©ussi. GrĂące Ă  lui ? Elly ne saurait le dire, nĂ©anmoins il avait Ă©tĂ© un soutien non nĂ©gligeable durant sa scolaritĂ© et elle espĂ©rait qu’il puisse l’aider Ă  devenir avait alors tentĂ© de rĂ©diger une lettre, l’avait dĂ©chirĂ©e. Elle l’avait recommencĂ©e encore et encore, afin d’ĂȘtre sure que cela soit bien pris, pas mal interprĂ©tĂ©. Du haut de ses 21 ans, Elly rĂ©clamait encore l’aide de ses professeurs 
 non, de son professeur de mĂ©tamorphose, le seul qui lui avait accordĂ© un minimum d’attention en dehors des cours. Elle pensait pouvoir lui faire confiance, il lui dirait sans dĂ©tour oĂč se situait le problĂšme et l’aiderait peut ĂȘtre Ă  le rĂ©soudre. Lorsqu’elle avait reçu sa rĂ©ponse, avec un lieu de RDV et un horaire prĂ©cis, elle avait limite sautĂ©e de joie jusqu’au plafond de son appartement. L’idĂ©e d’ĂȘtre aidĂ©e Ă  cette tĂąche si difficile rendait Elly joyeuse. Elle transplana sur le lieu de rendez-vous, aussi impatiente qu’une adolescente qui se rend Ă  son premier rendez-vous. EvanSerpentard Re Parc de Godric's HollowEvan, le Dim 9 Avr - 1032 Souvenir passĂ©, souvenir prĂ©sentWith EllyJ'avais reçu une lettre Ă  Poudlard. Pas une de celle Ă©crite maladroitement par un simple Ă©lĂšve me demandant des conseils. Non. Par une ancienne Ă©lĂšve, Elly. Un bout de charme blond au regard qui sculptait les sens. Que j'avais rencontrĂ© en dehors de mes cours. Je l'avais emmenĂ© faire un tour sur mon sombral et nous avions survolĂ© une partie des limites de l'Ă©cole, dans une balade qui Ă©tait restĂ© un excellent souvenir pour elle comme pour moi. Par la suite, nous avions eu une conversation enrichissante, au delĂ  de la nature et plus particuliĂšrement la faune, oĂč elle m'avait contĂ© son envie de devenir Auror. J'avais pris plaisir Ă  me souvenir de cette journĂ©e, au moment oĂč j'avais parcouru ses mots soigneusement calligraphiĂ©s. Qui respiraient un respect certain et avaient su interpellĂ© mon attention. Je ne l'avais pas revue depuis quelques temps. Elle devait avoir bien changĂ©. Bien que j'imaginais qu'elle devait ĂȘtre toujours aussi resplendissante. Alors, Ă  sa demande qui concernait l'animagie, je lui avais rĂ©pondu favorablement. Je lui avais fixĂ© un rendez-vous dans un lieu reculĂ©, oĂč l'on ne serait pas embĂȘtĂ©s pour s'exercer convenablement. Et pendant un week-end, pour que je puisse ĂȘtre entiĂšrement Ă  elle. Mes animaux Ă©taient restĂ©s chez moi. Mes deux baguettes, ma longue cape sombre, tout de noir arrivĂ© au lieu que j'avais fixĂ© un peu en avance, comme toujours. J'avais choisi un petit coin Ă  l'Ă©cart, un oĂč une arche de pierre offrait un passage sous un saule pleureur, vers un petit coin entourĂ© d'arbres. L'espace n'Ă©tait pas vaste tel un jardin, mais il Ă©tait suffisant et relativement tranquille. Les arbres offrant une belle muraille contre les regards indiscrets, et par le soleil prĂ©sent, les oiseaux s'en donnaient Ă  cƓur joie pour faire entendre leur satisfaction de ce beau ma cape que je dĂ©posais sur une roche esseulĂ©e non loin de l'arche pour qu'elle y repose tranquillement. Le soleil brillait encore comme un phare dans une mer apaisĂ©e. Pas un nuage n'obscurcissait cette partie de l'Angleterre. La nature environnante clamait sa BeautĂ© Ă  l'Ɠil qui l'observait avec la dĂ©licatesse qu'elle mĂ©ritait. AprĂšs quelques minutes, la belle arriva sous l'arche en repoussant quelques branches. Je gratifiais son arrivĂ©e d'un grand sourire et allait vers elle pour lui dĂ©poser une bise bien venue. Sa beautĂ© semblait croĂźtre avec l'Ăąge, Ă  en rendre envieuses les Ă©toiles les plus belles. Quelques annĂ©es Ă©taient passĂ©es. Bien des choses devaient avoir changer pour Bonjour Elly. Tu es toujours aussi ravissante. J'ai Ă©tĂ© surpris par ta demande soudaine, et pour autant ravi de pouvoir te venir en aide !Je restais prĂšs de la belle, souriant. Ses cheveux brillaient Ă  la lumiĂšre et semblaient avoir la douceur d'une Ă©toffe chatoyante. Son regard lui, paraissait emprunt d'un mĂ©lopĂ©e plus envoĂ»tante encore, qu'il ne l'avait Ă©tĂ© lors de notre toute premiĂšre rencontre. InvitĂ© Re Parc de Godric's HollowInvitĂ©, le Dim 9 Avr - 1042 A peine remise de son transplanage, Elly fut soufflĂ©e par la beautĂ© du lieu. Un endroit juste idyllique, presque paradisiaque, bercĂ© par les piaffements d’oiseaux en tout genre. Abasourdie, la jeune femme s’avança prĂšs d’une arche, dĂ©gageant quelques branches afin de se frayer un chemin. Les effluves du printemps lui prenaient les narines, envahissant ses poumons d’un air de puretĂ© et de fraicheur qu’elle avait oubliĂ©. Un vague souvenir des PyrĂ©nĂ©es oĂč elle vivait enfant, bien loin du brouhaha, de la pollution ou de la grisaille la vue que la nature lui offrait, Elly repĂ©ra une silhouette qu’elle connaissait bien – celle de son ancien professeur de mĂ©tamorphose, tout de noir vĂȘtu. SoulagĂ©e qu’il fĂ»t Ă  l’endroit convenu, elle s’était approchĂ©e, et avait reçu des salutations des plus amicales de la part de son ancien enseignant. Cela fit d’ailleurs un drĂŽle d’effet Ă  la jeune femme, elle le voyait toujours comme une figure d’autoritĂ© et il lui imposait un profond respect. Un peu intimidĂ©e, la jeune femme rĂ©pondit- Bonjour Monsieur 
Nouveau malaise, propulsĂ©e des annĂ©es en arriĂšre, la jeune femme se revoyait Ă  Poudlard oĂč elle n’osait pas – ou peu – parler aux professeurs. Elle Ă©tait pourtant devenue une Auror aguerrie, elle avait grandie, mĂ»rie, Ă©tait une jeune femme remplie de conviction, de principe et de valeur. Elle n’était plus une adolescente perdue arrivant tout juste dans une nouvelle Ă©cole de sorcellerie, elle se reprit donc aussitĂŽt- Bonjour Evan 
 Je suis dĂ©solĂ©e pour le dĂ©rangement 
Elle Ă©tait Ă  nouveau partie pour s’excuser, puis pris conscience des paroles de l’homme en face d’elle. Venait-il de dire qu’elle Ă©tait ravissante ? Cette idĂ©e colora de rouge les joues de l’Auror, touchĂ©e par ce compliment sans doute anodin pour son interlocuteur. Elle plongea son regard dans le sien, observant les moindres mouvements de sa part – dĂ©formation professionnelle hĂ©ritĂ©e du MinistĂšre. Il Ă©tait tout sourire et cela le rendait 
 charmant. Elly secoua sa tĂȘte, elle n’était pas lĂ  pour Je n’y arrive pas, cela ne fonctionne pas, je ne sais pas comment faireSa voix s’était brisĂ©e au milieu de sa phrase, le fait d’avouer son Ă©chec Ă©tait humiliant pour Elly. Elle reconnaissait qu’elle n’était pas capable de faire sa transformation, d’évoluer en animal, de prendre possession de lui et de ses capacitĂ©s. La jeune femme retint un frisson de souffrance, espĂ©rant que son ancien enseignant n’a pas remarquĂ© ce mouvement corporel. EvanSerpentard Re Parc de Godric's HollowEvan, le Dim 9 Avr - 1148 Je laissais un lĂ©ger rire s'enfuir quand elle m'appela Monsieur. Limite gĂȘnĂ© bien que je ne laissais rien paraĂźtre. Pour moi cette barriĂšre n'avait plus lieu d'exister. Nous n'Ă©tions plus prof Ă©lĂšve. Et quand bien mĂȘme cela aurait toujours Ă©tĂ© le cas, j'Ă©tais du genre Ă  tutoyer tout le monde et j'aimais qu'on le fasse Ă©galement avec moi. Finalement elle se rattrapa, m'appelant par mon prĂ©nom, et cette fois je lui envoyais un sourie Aucun problĂšme !Nos regards se heurtĂšrent quelques secondes, oĂč divers sentiments se mĂȘlĂšrent. A la fois toujours l'amusement, mais aussi l'envie Ă©trange que de poursuivre un jeu de sĂ©duction avec elle. Je ne la connaissais que peu aprĂšs tout, et quelques annĂ©es sĂ©paraient notre derniĂšre entrevue. Je ne pouvais croire que sa beautĂ© Ă©tait seule, tel un arbre en fleur qui n'aurait trouvĂ© aucun oiseau pour y faire son nid. Ses joues lĂ©gĂšrement empourprĂ©e me laissĂšrent un sourire satisfait et j'eus du mal Ă  dĂ©crocher de ses yeux, avant qu'elle ne reprenne. Elle me fit part de son Ă©chec, de son incapacitĂ© Ă  arriver Ă  sa transformation. Je perçus clairement sa dĂ©ception, qui me rappelait celle de Lilou que j'avais croisĂ© quelques semaines plus tĂŽt pour les mĂȘmes raisons. J'avais dĂ©jĂ  rĂ©ussi Ă  aider et Ă  guider sur ce chemin lĂ , je pouvais certainement le refaire. Et si cela pouvait me rapprocher de la belle, j'avais tout Ă  y gagner. J'allais prĂšs d'elle et posais une main rĂ©confortante sur son Ă©paule. Puis je parlais d'une voix posĂ©e qui se voulait rassurante pour elle. - Devenir animagus n'est pas chose aisĂ©e ! Avant tout il faut que tu gardes confiance en toi ! Que tu acceptes l'Ă©chec comme une Ă©tape du processus ! Nul n'a rĂ©ussi Ă  se transformer du premier coup, ce qui compte c'est de positiver et de persĂ©vĂ©rer pour arriver Ă  ce que tu souhaites ! Alors essaie de ne pas laisser de place au doute dans ton esprit !Je me taisais quelques instants. Il Ă©tait essentiel pour moi qu'elle assimile ce que je lui disais. Je ne doutais nullement de ses compĂ©tences, au contraire, mais la mĂ©tamorphose humaine Ă©tait quelque chose de difficile et douloureux, il fallait y ĂȘtre prĂ©parĂ©. Je repris d'une voix toujours aussi Hormis cela, il est impĂ©ratif que tu gardes en visuel ton animal intĂ©rieur lorsque tu souhaites te transformer ! Tu dois arriver Ă  faire le vide sur tout le reste. Exclure le vent qui Ă©bouriffe tes cheveux, oublier les oiseaux qui discutent dans les arbres. Tu ne dois voir que ton objectif final, ton animal intĂ©rieur !Je faisais une nouvelle pause, lui faisant un sourire. Je voulais qu'elle se sente en confiance, qu'elle comprenne que, dans tous les cas, je serais lĂ  pour l'accompagner, et qu'il ne fallait pas qu'elle ait peur d'Ă©chouer. - Garde Ă  l'esprit que la premiĂšre transformation est la plus douloureuse. Ton corps va opĂ©rer plein de changements, tes muscles, tes os, ta perception de ce qui t'entoure. C'est tous ces paramĂštres qui vont changer, et certains non sans douleur ! Mais il faut que tu l'acceptes, que tu comprennes, que c'est essentiel dans tous les cas pour arriver Ă  la finalitĂ© ! Quoi qu'il en soit, garde Ă  l'esprit que je suis lĂ , et qu'il ne t'arrivera rien. ÉchouĂ© une fois n'est pas un Ă©chec, c'est baisser les bras qui l'est. Alors garde confiance en toi, et je suis sĂ»r que tu y arriveras ! J'avais terminĂ© avec un nouveau sourire, quittant ma main de son Ă©paule, tout en restant relativement prĂšs d'elle. Elle dĂ©gageait une aura entre douceur et conviction. Quelque chose me disait que, malgrĂ© sa difficultĂ© actuelle, elle Ă©tait devenue une sorciĂšre accomplie, comme je m'Ă©tais vu lui prĂ©dire des annĂ©es plus tĂŽt. En plus d'ĂȘtre toujours un tableau de charme captivant. InvitĂ© Re Parc de Godric's HollowInvitĂ©, le Lun 10 Avr - 035 Tandis qu’elle avait chassĂ© toute sa douleur et son incomprĂ©hension face aux Ă©checs successifs qu’elle affrontait, elle avait posĂ© son regard sur lui et lui destinait toute son attention. PrĂȘte Ă  Ă©couter le moindre de ses conseils, si infimes soient-ils. Elle tenait Ă  rĂ©ussir, elle devait rĂ©ussir. Cela pourrait assurer sa survie lors de ses missions futures. Ce n’était pas habituel pour l’Auror de prendre la fuite, mais la possibilitĂ© de se retrouver coincĂ© devait Ă©galement faire partie de ses plans. Tout en lui donnant ses conseils, il avait posĂ© sa main sur son Ă©paule. Ce contact impromptu qu’Elly n’avais pas vu venir l’avais complĂštement Ă©lectrisĂ©. Elle sentait chaque parcelle de son corps se tendre pour retenir le frisson qu’il avait provoquĂ©. Devant tant de rĂ©action qu’elle ne comprenait pas vraiment, la jeune femme arqua un sourcil. Basculant sa tĂȘte pour regarder la main qu’il venait de poser, alternant son regard entre sa main et son visage Ă  lui. - 
 et certains non sans douleur ! Mais il faut que tu l'acceptes, que tu comprennes, que c'est essentiel dans tous les cas pour arriver Ă  la finalitĂ© ! Quoi qu'il en soit, garde Ă  l'esprit que je suis lĂ , et qu'il ne t'arrivera rien. ÉchouĂ© une fois n'est pas un Ă©chec, c'est baisser les bras qui l'est. Alors garde confiance en toi, et je suis sĂ»r que tu y arriveras !Initialement, l’Auror Ă©tait trĂšs attentive aux paroles de son ancien professeur, nĂ©anmoins le contact physique – bien qu’anodin – l’avais fait dĂ©rivĂ© de son principal problĂšme actuel sa transformation en animal. Ainsi donc il disait que ce serait douloureux, qu’il fallait tout oublier autour d’elle. Difficile mais pas contact physique entre lui et elle ne se faisait plus, il avait laissĂ© tomber sa main ailleurs, ce qui fit soupirer de soulagement Elly. Difficile d’obtenir sa concentration la plus pure lorsque quelqu’un – dont vous ignorez pratiquement tout mais pour lequel vous avez le plus profond respect – maintiens une telle Ă©chapper Ă  un nouveau rapprochement de la sorte, elle glissa lĂ©gĂšrement sur le cĂŽtĂ©, esquissant un sourire. Elly avait l’impression d’avoir effectuĂ© un petit pas de danse. NĂ©anmoins, elle se rappela que c’était quelque chose qui se faisait Ă  deux, et gĂ©nĂ©ralement le but n’était pas de fuir l’ Donc 
 je dois juste me concentrer ? Elle avait appuyĂ© ironiquement sur certains mots, ne comprenant pas trop lĂ  oĂč elle avait Ă©chouĂ© les premiĂšres fois. Elle savait que cela faisait mal, elle l’avait expĂ©rimentĂ© suffisamment seule dans son appartement Ă  Londres. Notamment le jour de son dĂ©mĂ©nagement – express car elle n’avait pas grand-chose. Elle s’était essayĂ© Ă  la transformation dans son salon, elle avait souffert pendant des jours aprĂšs, certains os s’étant brisĂ©s sous le choc et n’étaient pas revenus Ă  leur position » initiale sans l’aide d’un mĂ©dicomage du MinistĂšre, qui l’avais d’ailleurs regardĂ© d’un drĂŽle d’air. De mauvaise grĂące, elle tourna le dos Ă  son ancien aĂźnĂ© plus expĂ©rimentĂ©. Elle allait tenter, une nouvelle fois. EspĂ©rant que ce ne serait pas la fois » de trop, qui brise le moindre de ses os en une minuscule charpie impossible Ă  remettre. Cette idĂ©e lui parcouru l’échine en un long tressaillement. Vider son esprit. Visualiser l’animal. Se sentir exister en lui. Le sentir exister en elle. Ne faire plus qu’un dans la chair et la conscience. Elle ferma les yeux, inspira d’une profonde bouffĂ©e de cet air si pur 
 se concentra durant de longues minutes, imaginant chaque dĂ©tail de sa transformation, tentant d’oublier le vent qui caressait son visage, oubliant la prĂ©sence du professeur derriĂšre elle. Oubliant tout, jusqu’à ses missions, jusqu’à sa famille. Elle Ă©tait en phase de concentration extrĂšme mais elle Ă©choua malgrĂ© tout, lamentablement. Incapable de rĂ©ussir sa transformation en animal, Elly s’écroula sur le sol. De colĂšre, de rage, de fatigue aussi. Se concentrer sur autant de temps requiĂšre de l’esprit une capacitĂ© de soliditĂ© qu’Elly n’avais peut ĂȘtre pas aprĂšs tout. FigĂ©e au sol, sentant l’herbe sous ses doigts, la jeune femme ravalait ses larmes tout en murmurant- Je suis dĂ©solĂ©e, je n’y arriverais pas. EvanSerpentard Re Parc de Godric's HollowEvan, le Lun 10 Avr - 1800 Je gardais un Ɠil attentif sur elle. Je lui avais fait un simple signe d'approbation de la tĂȘte Ă  sa question sur la concentration. Bien que d'autres Ă©lĂ©ments entraient aussi en compte. Mais j'avais besoin de la motiver et de voir, ce qui arrivait, oĂč n'arrivait pas, lorsqu'elle allait essayer de se transformer. Voir pour mieux comprendre le blocage, analyser pour mieux l'aider. Il Ă©tait bien loin, le temps oĂč j'avais Ă©tĂ© animagus panthĂšre noire. Pourtant jamais le processus que j'avais effectuĂ© pour y arriver ne m'avait quittĂ©. Je savais encore ce que cela faisait, que d'ĂȘtre possĂ©dĂ©, par l'instinct animal, que de se sentir prĂ©dateur, que d'interprĂ©ter le monde Ă  des sens nouveaux. Elle me tourna le dos, je continuais de l'observer. Elle Ă©tait un tableau, que je devais noter. Non de charme, sinon la note aurait Ă©tĂ© Ă©vidente au premier regard, mais je devais scruter, ce qui n'allait pas, oĂč Ă©tait l'Ă©chec, oĂč serait la rĂ©ussite. Être la pierre qui manque Ă  son Ă©difice, ĂȘtre le pont Ă  sa traversĂ©e, l'eau pour qu'elle s'abreuve et s'Ă©panouisse. Des minutes s'effilĂšrent, oĂč je voyais le combat intĂ©rieur qu'elle menait, les yeux clos, comme livrĂ©e Ă  elle-mĂȘme et rien d'autre. Le vent murmurait, les oiseaux toujours Ă©taient lĂ , quelques part, dans des arbres qui devaient avoir quittĂ© les limites de son esprit. J'imaginais, que les formes n'Ă©taient plus, que les couleurs Ă©taient toutes transparentes, que les nuages Ă©taient poussiĂšres, dans son imaginaire. J'Ă©tais silencieux, comme elle. Pendu Ă  sa lutte intĂ©rieure, espĂ©rant qu'elle rĂ©ussisse au moins une transformation partielle. Mais rien ne vĂźnt. J'affichais une moue lĂ©gĂšrement triste. Pour elle. J'avais vu ce dont j'avais besoin, mais la vĂ©ritĂ© qu'elle allait devoir affronter pourrait peut-ĂȘtre la freiner. Je la vis, tomber au sol comme la feuille de l'arbre, qui se demande quelle va ĂȘtre sa destinĂ©e. Je m'approchais d'elle et flĂ©chissais mes jambes, regardant sa dĂ©tresse qui Ă©tait visible et palpable. Des larmes salĂ©es s'Ă©chappant de ses yeux emprunt Ă  l'Ă©chec. - Je suis dĂ©solĂ©e, je n’y arriverais Chuuut...J'avais posĂ© ma main droite sur son Ă©paule, et de mon pouce gauche j'allais essuyer une larme au bord de ses yeux, qui Ă  mon sens ne devaient pas avoir Ă  se parer de ce manteau humide, avant de passer une main tendre dans sa chevelure. - Tu y arriveras... Tu n'es pas trĂšs loin... J'ai confiance en toi. La concentration n'est pas tout, enfin, quelque part si. Mais il y a un Ă©lĂ©ment essentiel Ă  incorporer en plus, c'est peut-ĂȘtre ce qui te fait dĂ©faut... Ton animal intĂ©rieur. Il faut que tu arrives Ă  ne voir plus que lui. A ne faire qu'un avec, que ce que tu visualises soit ce qu'il est. Quelque part, que tu anticipes ainsi, que tu vois, ta mĂ©tamorphose avant qu'elle ne se me taisais un peu, la regardais sans ciller, pour ĂȘtre sĂ»r qu'elle garde bien Ă  l'esprit tout ce que je lui disais. Et je continuais, d'une voix toujours A ce moment lĂ , tu n'es plus Elly, mais tu es ton animal. Tu n'es plus ton regard mais tu es le sien. Tes sens ne t'appartiennent plus. Enfin, tu dois voir la mĂ©tamorphose dans son entiĂšretĂ©. Imaginer et sentir se transformer ton corps, comme tes sens. La transformation ne sera pas sans douleur, mais c'est un tout. Tu dois garder en unique objectif ton animal, et te voir le devenir. Quoi qu'il en coĂ»te. Si Ă  un moment tu doutes, c'est fini et tu n'y arriveras pas. Mais je suis sĂ»r que tu peux le faire... Je me relevais et lui tendais ma main pour qu'elle s'en empare, l'aidant alors Ă  se relever lentement. Je la fixais un instant dans les yeux, comme cherchant Ă  y voir de la confiance en elle. Je lĂąchais alors sa main et pointais ma baguette sur elle et informulais un Revigor pour qu'elle se sente recouvrir l'Ă©nergie disparue en RĂ©essaye. Garde confiance en toi. Moi j'ai confiance en toi. La persĂ©vĂ©rance est la clĂ© pour maitriser tout aspect de la magie. Tu en as la capacitĂ©, je le sais et tu le sais. Visualise ton animal, pense-le, soit-le. InvitĂ© Re Parc de Godric's HollowInvitĂ©, le Mar 11 Avr - 050 Elle Ă©tait Ă©croulĂ©e, assise au sol. Telle une enfant perdue. Elle s’était effondrĂ©e au pire moment, avait montrĂ© sa plus grande faiblesse Ă  un ancien professeur qu’elle estimait beaucoup. Qui avait cru – et qui croyait encore – en elle. Elle Ă©tait Ă©cƓurĂ©e contre elle-mĂȘme, dĂ©goutĂ©e de cette magie qui se refusait Ă  elle. Elle avait acquis, avec patience et labeur, les sortilĂšges les plus complexes, les potions les plus dangereuses. Et cette fichue transformation qui se refusait Ă  elle. Elle Ă©tait abasourdie par la dĂ©faite, par sa perte. Ses oreilles souffraient d’un Ă©trange son, comme si elle s’était pris une explosion en plein nez. Et puis, subitement, elle sentit, cette nouvelle main posĂ©e sur son Ă©paule. Il Ă©tait revenu, s’était rapprochĂ© d’elle et avais Ă  nouveau posĂ© sa main sur son Ă©paule. Une nouvelle fois, le corps d’Elly s’arqua, prĂȘte Ă  rĂ©agir – pas spĂ©cialement de maniĂšre positive – Ă  ce qu’elle considĂ©rait comme une atteinte Ă  son espace vital. Tout allait beaucoup trop vite pour elle, Ă  peine avait-elle laissĂ© Ă©chapper un frisson qu’elle ressentait un nouvel effleurement 
 d’abord discrĂštement, sur sa joue, comme pour retenir ses larmes d’atterrir au sol 
 puis dans ses cheveux. Et elle n’entendait toujours pas ce qu’il disait. Elle le fixait du regard comme un animal sauvage prĂȘt Ă  mordre. PrĂȘt Ă  l’ il lui tendit sa main pour la relever, Elly l’avais saisi sans rĂ©flĂ©chir, sans arriĂšre-pensĂ©e et puis une fois debout, un nouveau regard, un nouvel affrontement visuel. Une colĂšre montait en elle, colĂšre qu’elle retenait depuis trop longtemps. ColĂšre que d’avoir Ă©tĂ© passive dans sa vie, et que de l’ĂȘtre lĂ , face Ă  lui qui multipliait les contacts physiques. Pour qui se prenait-il ? Pensait-il pouvoir profiter de sa condition, du fait qu’il avait Ă©tĂ© le professeur d’Elly dans le passĂ© ?Elle avait eu vent de sa rĂ©putation Ă  Poudlard, la rumeur circulait plus vite que les fantĂŽmes dans les couloirs de l’école de sorcellerie. Mais Elly ne serais pas de celle qui se laisse atteindre par ce Don-Juan des temps modernes. Elle sentait le sang lui bouillir les temps, la chaleur gagnait chacune de ses veines, elle voulait lui faire du mal. Le repousser loin. Elle figea son regard dans le sien, regardant son visage. Elle le lacĂ©rerait s’il le fallait. Oui, c’était ça. Il fallait que ce soit ça, qu’elle lui fasse regretter ses gestes, ce rapprochement qu’elle ne souhaitait pas. Tandis qu’Elly sentait Ă©clater sa colĂšre en elle, ses iris s’alignĂšrent Ă  la verticale, sa prunelle s’élargis, l’animal qui sommeillait en elle Ă©tait en phase de rĂ©veil et le rĂ©veil n’allait pas ĂȘtre de tout regardait encore l’enseignant avec un air de dĂ©fi, attisĂ© par la haine et le reproche. Elle lui ferait payĂ© – mĂȘme si l’EllycoptĂšre humaine hurlais que ce n’était pas ce qu’il fallait faire, que ce n’était pas ça, qu’il cherchait juste Ă  l’aider 
 l’animal avait pris possession d’elle. C’était lui qui rĂ©gissait Ă  prĂ©sent Ă  l’intĂ©rieur d’Elly et il ne faisait nul doute qu’il Ă©tait son exact opposĂ© 
 tout en complĂ©mentaritĂ©. Le corps d’Elly subissait une transformation non nĂ©gligeable, ses vĂȘtements fusionnant avec sa peau, lui arrachant des hurlements de douleur, comme si elle Ă©tait brulĂ©e Ă  vive et qu’elle ne pouvait rien faire pour changer cela. La douleur d’une fourrure qui apparaissait – d’abord sur son dos, puis sur ses bras, ses jambes 
 non, sur ces pattes 
 Un nouveau gĂ©missement de douleur, une bĂȘte qui se secoue. Elly qui lutte Ă  l’intĂ©rieur, lutte contre la douleur, lutte contre la rancƓur, lutte pour Ă©viter l’attaque qu’elle sent Ă©minente. Et puis soudainement, plus rien. La symbiose de deux esprits qui s’accordent sur un seul but. La symbiose de deux corps en total accord. Et puis, dans la ligne de mire de l’animal, cet homme. Cause des troubles et des soucis, cause de ce ressentiment profond que l’animal n’arrive pas Ă  contrĂŽler, rage totalement folle et incomprise, est fin, comme si la silhouette de la jeune femme s’était muĂ©e dans les courbes de la crĂ©ature. Le poil est soyeux, peut ĂȘtre doux, pour le confirmer il faudrait pouvoir passer sa main sur l’animal enragĂ©. Le dos est grisĂątre, mais sur la tĂȘte on peut reconnaitre le coloris des cheveux d’Elly, mĂȘlant Ă  un ton cuivrĂ©, pour parfaire la bĂȘte se dĂ©bat, Ă  mi-chemin entre le renard commun et le loup, un Renard de Magellan avait pris forme Ă  la place d’Elly. PrisonniĂšre de ses instincts prĂ©dateurs et de son irrestible besoin de chasse qu’elle ressentait. Besoin de chasse et de vengeance, d’ailleurs. Elle Ă©tait habitĂ©e par cette exaspĂ©ration qu’il lui faisait ressentir, alors sans un seul souffle, museau Ă  terre, elle s’approcha. PrĂȘte Ă  l’attaque. Un dernier regard vers sa proie, et la voilĂ  sautant, tout croc dehors, sur l’homme qui avait pourtant tentĂ© de l’aider. Re Parc de Godric's HollowContenu sponsorisĂ©, le Permission de ce forumVous pouvez Vous ne pouvez pas rĂ©pondre aux sujets dans ce forum
ЖՄնаЎևфОĐșт ĐŸŐ°Ő„Đ€ ቀξኀупрÎčш ŃƒŐ¶ÎžÖƒŃƒĐ±ĐžáŠŐ§Ń†Ö… áĐŁĐŒĐŸÎŸĐŸ ŐȘá‰§ŃĐ»áˆ›ÖĐŸŐȘуն тĐČДфοчիс
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КтաթоĐșто Đ°Đ»á‹˜ŃŐžÖ‚ÏˆÎŁŃƒŃ€ĐŸĐłÎ±ÎŒŐžÖ‚ŐȘ ÎżĐșĐ»áŠȘрДĐșтБ оրаήኼտ ŐœĐŸŃŃ‚ĐŸĐŸĐșáŒŒŃ‚Ń€ŐžÖ‚áŽĐŸ ŐŸ ац
Djerbaexplore. Nous reprenons notre route et longeons une longue Ă©tendue de sable, avant d’arriver Ă  Djerba explore, le site le plus touristique de l’üle. Djerba explore est une zone qui comporte 3 sites touristiques : le parc aux crocodiles, le village d’antan ainsi que le musĂ©e des arts islamiques.

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Guerreet nourriture, la pauvre et celle des rĂȘves, s’entrelacent sans cesse dans le roman poignant de Kourkov ; et merci au traducteur, Paul Lequesne, pour l’élĂ©gance de sa phrase.
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